Dans cet avis, je partage mon ressenti sur la saison 2 de la série HPI. Malgré quelques longueurs et facilités scénaristiques, j’ai apprécié retrouver les protagonistes et suivre l’évolution de leurs vies et relations professionnelles et amicales. Audrey Fleurot brille une fois de plus avec son jeu piquant et cocasse, maîtrisant parfaitement l’ironie. Les épisodes indépendants offrent des moments captivants et les rapprochements entre les personnages ajoutent de la profondeur à l’histoire. Bien que l’intrigue principale sur la police soit un peu décevante, cette saison apporte son lot de plaisir et de rebondissements. Globalement, j’ai apprécié cette deuxième saison de HPI. #AvisSérie #HPI #AudreyFleurot
Salut les loulous ! Je viens vous donner mon avis sur le deuxième tome de cette bande dessinée. Cinq avril se retrouve une fois de plus mêlé à des aventures palpitantes. Cette fois-ci, il doit voler un portrait compromettant d’Anne Boleyn, future reine d’Angleterre. L’enjeu est de taille, car cela pourrait entacher la réputation d’Anne et compliquer le divorce du roi Henri VIII. L’intrigue historique est intéressante et j’ai apprécié les clins d’œil à la vraie histoire. Cependant, un retournement de situation peu réaliste vient perturber l’intrigue principale, ce qui m’a un peu déçue. Malgré tout, Cinq avril continue d’enquêter sur ses parents et je suis curieuse de découvrir ce qu’il va découvrir. En résumé, un tome divertissant, bien que moins solide au niveau de l’intrigue. #LectureDuJour #CinqAvril #BandeDessinée
Dans cette duologie se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale en Belgique, je m’attendais à une histoire centrée sur l’occupation allemande, mais Gihef et Renaud m’ont montré que c’était bien plus que ça.
Éric Fouassier se penche sur la mort mystérieuse du roi Charles 9. Bien que l’enquête relève de la fiction, elle reste probable. L’intrigue commence avant cet incident, où nos deux protagonistes, le chevalier d’Amboise et Héloïse, se rencontrent lors d’un jeu de paume et tombent amoureux.
— Ce n’était pas ce matin, mais dans la salle de réunion B, avec le directeur adjoint Justin Hanson, l’inspectrice- cheffe Stephanie Flynn et le directeur Edward van Zyl, le jour où je leur ai montré l’analyse des résultats du TDMC. Au bout d’un moment, ils ont oublié ma présence. Un coup d’œil dans le rétroviseur indiqua à Poe que Flynn était réveillée. Elle avait les yeux rouges. On dort toujours moins bien en voiture que dans un lit. Bradshaw se retourna. — Vous n’appréciez pas Poe, pas vrai, madame Flynn?
— Qu’est-ce que vous racontez, Tilly? s’écria l’intéressée, l’air inquiet. Bien sûr que si, je l’apprécie. — Ah. Je n’avais pas compris ça, surtout quand le direc- teur Edward van Zyl a expliqué que le SCAS avait besoin de Poe et de sa «connaissance encyclopédique des tueurs en série» et que vous avez répondu: «Peut-être, mais il a surtout une connaissance encyclopédique de l’art d’être une tête de con, monsieur le directeur.» Poe rit si fort qu’il faillit s’étouffer avec la gorgée de café qu’il venait d’avaler. — Tilly! s’écria Flynn, mortifiée.
— Quoi?
Mon avis :
Ce thriller est publié aux éditions archipel. Comme avec beaucoup de leurs livres, j’ai été happée dès les premières pages. L’enquête ainsi que l’intrigue associée à un personnage un peu ours comme Washington Poe n’y sont pas pour rien. Il faut dire que j’adore les personnages bourrus et un peu bruts de décoffrage qui envoient les règles au placard. Washington Poe est secondé par une lieutenante qui le laisse prendre ses aises. Stéphanie Flynn est une femme de poigne, mais elle est juste. Je regrette qu’elle soit finalement assez absente.
Washington Poe peut compter sur une analyste de génie et enthousiaste. Elle a un quotient intellectuel qui frôle la stratosphère. Avant que vous me disiez, c’est impossible, ce n’est qu’une image ! En tout cas, Tilly Bradshaw est peu sensible au second degré ou au langage imagé. Elle me fait penser à Temperance Brennan tout en restant très innocente du monde et de la méchanceté d’autrui. La dynamique qui s’installe auprès de Washington Poe oscille entre complicité et respect. J’ai bien aimé.
Cependant avec Tilly Bradshaw, l’auteur a voulu surfer sur la vague des séries qui mettent en avant des profiler, des gens super intelligents ou encore atteints de handicap comme l’Autisme Asperger ou d’HPI. Tilly a très peu de connaissances du terrain. Elle est innocente et naïve. Néanmoins, elle fait preuve de franchise. Elle peut être trop directe. Elle ne sait pas faire preuve de tact. Les scènes qui en résultent pourront vous faire sourire et alléger une enquête macabre sanglante et parfois même gore. J’ai vraiment eu un petit battement de cœur pour cette relation entre Tilly et Washington Poe.
J’aimais assez l’idée d’allier film et lieu spirituel, voire culturel. Ces sites sont présents dans une partie de l’Angleterre. Ils sont lourds en histoire. J’étais séduite par l’idée qu’il soit le théâtre de scènes de crime. M W Craven aurait pu s’en servir pour donner une dimension historique ou religieuse, mais l’idée n’est même pas effleurée. C’est dommage. Je ne suis pas sûre d’avoir bien compris la symbolique du lieu. J’aurais aimé un écho historique. J’ai été légèrement déçue de ce point de vue là. Je ne vous en dirai pas plus pour ne pas vous dévoiler trop.
Âme sensible, s’abstenir ! L’auteur va assez loin dans les descriptions macabres. La description parle de la chair brûlée, de la cendre et des eaux. Elle a même parfois une odeur, un peu trop de réalisme pour moi. L’auteur n’est pas aussi prolixe concernant les motifs et le passé des victimes. Je n’ai du coup pas été impliquée d’un point de vue émotionnel. Tous ces détails viennent alourdir l’histoire et donnent un côté voyeuriste à ce polar.
En bref, ce livre se dévore en une seule bouchée. J’aime bien Poe et son personnage homme des cavernes. J’ai nagé au niveau de l’enquête, puis j’ai vu le rebondissement arrivé avec ces grands sabots. Ce manque de surprise ne m’a pas gêné, seul l’excès d’hémoglobine est gênant.
Je viens de lire ce tome et j’ai retrouvé toute l’équipe, Louis, William et le comte Moriarty. Ils sont déterminés à faire tomber le responsable d’un trafic de drogue qui les révulse. William a mis en place un plan astucieux pour démasquer le coupable qui semble être membre de la bourgeoisie. Cependant, il n’avait pas prévu l’entrée remarquée de Sherlock Holmes qui semblait intriguée par les manœuvres de William.
Ce manga est une totale surprise. Je ne m’attendais pas à un simple shojo, léger et superficiel. J’aurais passé un bon moment de détente. Eh oui ! Il m’arrive encore de me fier au résumé, mais je n’aurais pas pu avoir plus tort. La mangaka Yosikazu signe pour un manga avec une thématique insidieuse et d’actualité. Elle met en scène un mariage, tout ce qui a de plus normal. Enfin, tout dépend pour qui ? Une femme au petit soin qui travaille et un mari tout sourire dans sa routine !
Tout bascule pour Morgane. Elle fait le ménage dans les bureaux de la police, elle vole une gomme. Oui, c’est la dèche. Elle passe l’aspirateur, butte dans un bureau. Elle fait tomber une pile de documents et là malheur, elle voit les photos d’une scène de crime. C’est plus fort qu’elle, elle furète. Elle fait des liens, écrit sur le tableau… Et puis, elle se tire. La caméra ne nous révèle rien de ce qu’elle a appris. Nous voyions comme elle, mais nous avons au moins deux trains de retard sur ses déductions.
Fragment de livre : Le dépeçage exige d’excellents outils. Je vais en tailler de nouveaux, décida Mégacéros en s’asseyant en tailleur.-Reconnais plutôt que tu ne …
Fragment de livre en guise de mise en bouche : J« — Dans ce cas, le Hezbollah aurait plutôt frappé les États-Unis, non ? suggéra le ministre.— La France …
Fragment en guise de mise en bouche : « — C’était dans L’Observer. Un autoportrait au crayon, réalisé quand il était incarcéré à Belmarsh. Vous saviez qu’il existait …
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