Magus of the library T2 de Matsu IZUMI

Découvrez un manga captivant avec Shio Fumis, mélange de douceur et d’aventure. Une lecture rafraîchissante pour tous les amateurs de positivité et de magie !

Tsubaki love T7 de Kanan MINAMI

Hey les amis d’Instagram ! 💖 J’ai fini le tome 7, et franchement, ce n’est pas mon préféré du tout. 📚 L’intrigue ne me convainc pas du tout. Trop de mesquinerie et de rebondissements farfelus. Halstead, l’ex-meilleur ami de Kyota, est revenu pour se venger, mais sérieusement, est-ce vraiment nécessaire ? 😒 Ça rajoute juste du drame inutile. L’auteure Kanan Minami aborde le thème du viol et des faux témoignages, mais je me demande pourquoi inventer une histoire aussi compliquée quand on peut simplement avouer ses sentiments. 🤷‍♀️ Halstead est un personnage étrange, torturé, prêt à tout pour se venger, ce qui complique la vie de Kyota et Hibino. Pour moi, ce tome n’apporte pas grand-chose à l’histoire principale. J’aurais préféré en savoir plus sur les familles de nos héros, remplies d’émotions. Bref, un tome passable, mais j’espère mieux pour la suite ! 😊✨ #Lecture #AvisLittéraire

Sawako T3 de Karuho SHIINA

Hey les amis ! Je voulais vous parler de ce tome incroyable que j’ai dévoré ! C’est vraiment une lecture captivante qui aborde la question de la communication. Sawako, notre héroïne, pense que se taire pour éviter les conflits est la meilleure solution, mais elle réalise que cela peut causer des malentendus et blesser ses amis. Elle veut les protéger des rumeurs, mais en agissant ainsi, elle s’éloigne d’eux. Les quiproquos s’accumulent et les doutes s’installent. Pourtant, Sawako est si douce et attentionnée envers les autres. On se demande pourquoi tout ce micmac émotionnel se produit. Heureusement, Ryu et Kazehaya sont là pour les conseiller. J’ai adoré voir Sawako s’épanouir dans son amitié et se poser des questions sur l’intimité avec Kazehaya. Ce manga est tellement rafraîchissant et plein de joie, j’en suis fan ! 🌸💕 #Sawako #Amitié #Manga

Mon petit ami genderless T1 de Tamekou

Je suis d’avis que ce manga est intéressant car il brise les stéréotypes de genre en montrant un homme hétérosexuel qui se maquille et prend soin de son apparence. Cependant, j’ai trouvé que le traitement de cette thématique était maladroit, car l’histoire est trop idéalisée. Elle ne montre pas assez les difficultés et les obstacles que peuvent rencontrer les personnes qui s’écartent des normes de genre.

Tsubaki love T6 de Kanan MINAMI

Mon avis :

Ce tome est plus doux et tendre. Hibino Tsubaki est jalouse, elle montre ses sentiments. Elle veut partager son premier Noël avec Tsubaki. Cependant, Kyota ne montre pas le même entrain qu’elle. 

​​Ce manga comme vous le savez, je le lisais jeune adolescente. J’étais alors surtout emballé par la romance et j’en étais venue à apprécier Kyota petit à petit. À cette relecture avec un regard plus adulte, mature et peut-être aussi sensibilisé à la cause féminine, je trouve parfois le comportement de Kyota moyen, voire irrespectueux envers les femmes. Il s’impose, il est un tombeur et il n’est pas habitué à ce qu’on lui dise « non ». Hibino le met au pas, lui apprend à respecter l’autre. Elle n’a pas d’expérience amoureuse, mais ses tâtonnements et ses hésitations sont touchants. Elle ne se renie pas pour lui. Elle s’impose. Son corps, son rythme. Kyota est-il prêt à cela ? Si au début il avait envie de l’envoyer balader. Ses sentiments l’ont poussé à accepter ses temps. Il évolue en bien au contact d’Hibino. Elle lui ouvre les yeux sur son comportement et sa façon de se comporter avec les femmes. Il se rend compte que c’est méchant, gratuit et dégradant. Les émotions ne sont pas qu’une affaire de femme. Cela n’empêche pas son air bravache et ses gros sabots de continuer à faire quelques apparitions.  

Finalement, cette romance montre que l’on peut en tant que femme respecter son corps et ses envies sans pour autant être rejeté par l’homme. C’est aussi une manière de dire que l’homme peut-être romantique. Il peut lui aussi avoir envie de bougies et de lumières tamisées sans pour autant perdre en virilité. Hibino va passer son premier Noël en couple. Elle a des projets. Kyota semble n’y prêter aucune attention. Elle est vexée. Elle a l’impression qu’elle s’investit plus que lui. 

Et si tout cela ne suffisait pas, sa mère lui interdit de sortir et de se consacrer à autres choses qu’à ses devoirs et révision. Kyota sera content. Il n’a pas à se farcir sa copine. Hibino est frustrée, mais en même temps, cela l’arrange que Kyota n’y accorde pas autant d’importance. Elle sera la seule à être déçue. Elle boude dans son coin en faisant ses devoirs. Sa sœur, quant à elle, peut sortir voir du monde, car elle est acceptée dans le lycée d’Hibino. Hibino est l’aînée. Elle subit des pressions familiales intenses. Si elle est le parfait petit soldat, la seconde peut déconner un peu. Elle doit être la meilleure, des bonnes notes ne suffisent pas. Cependant, sa relation avec Kyota a fait baisser ses notes, sa mère la sermonne. Elle attend d’elle qu’elle donne tout ce qu’elle a quitte à ne plus sortir ni avoir de vie sociale. Sa mère ne sait rien pour Kyota. Elle doit rester dans l’ignorance. 

À travers Hibino, Kanan Minami parle de la pression familiale, une pression de performance et de réussite. Elle doit être une jeune fille parfaite. Elle n’a pas le droit de raccourcir son uniforme comme toutes les autres. Si elle le fait, elle le cache à sa mère. Pourtant, elle a tellement assimilé ses règles familiales, que l’idée même de désobéir ne lui vient pas à l’esprit. Kyota est son contraire, son père et sa mère sont aux abonnés absents, il n’a de comptes à rendre à personne. Il l’aide à penser plus par elle-même. Leur relation n’est pas non plus à sens unique. 

Est-ce que sortir s’amuser va à l’encontre de bons résultats ? Nous pouvons également nous demander si un enfant qui ne sort pas, qui se voit imposer une telle pression de performance, ne grandit pas avec ensuite des phobies et des angoisses présentes et pressantes ?

Heureusement, ces moments durs psychologiquement sont contrebalancés par des moments tendres, des scènes mignonnes et même l’initiation de Miss Showa à l’ère numérique. Là aussi, nous aurons des petites scènes drôles et croustillantes.  

En bref,

j’ai encore aimé ce tome. Il est plus doux, plus sensible, tout en abordant un sujet difficile, celui des pressions de performances. La famille peut être aimante, mais parfois elle s’impose dans nos choix et nous empêche de faire ce que l’on aime. Je n’ai finalement pas du tout la même lecture qu’en étant jeune ado. Mon regard a évolué. Hibino est pétrie de contradictions. Elle apporte beaucoup à Kyota et lui réveille sa rébellion. Ils sont mimi tout plein.

Evaluation :

Note : 8 sur 10.

Synopsis :

Tsubaki love

D’autres avis :

  • Aucune

Une chance sur un milliard de Gilles LEGARDINIER

Mon avis :

C’est avec plaisir que je renoue avec la plume de Gilles Legardinier. Cette fois-ci pour son livre feel-good, il n’y a pas de petit chat, mais un raton laveur. Est-ce simplement pour changer de public, nous surprendre ou alors le raton laveur a une véritable signification dans l’histoire ? Cette question restera sans réponse pour vous, mais pour moi qui l’ai lu, j’ai ma petite idée sur la question. 

Adrien est un dieu des chiffres, son monde est régi par les statistiques et les probabilités. Elles lui apportent un cadre rassurant contre le hasard et la roulotte russe qu’est la vie. Sa vie a pris une drôle de tournure à 11 onze ans. Elle a rencontré le bitume avec une sortie de route. Elle a perdu des pièces en chemin. Son père s’en est allé au ciel et sa mère a pris la fuite en laissant deux petits garçons égarés sur les bras de Mamette et Papilau. Papilau s’est occupé d’eux comme un chef. Il leur a donné de l’amour et une belle éducation.

Adrien est un adulte maintenant. Il est accompli, il a sa propre entreprise, un appartement et des personnes qui l’aiment. La seule ombre au tableau, sa belle est partie. Elle l’a laissé le cœur en miette et sans rien pour recoller les morceaux. Sa route rencontre un autre obstacle encore plus improbable que le précédent, une maladie rare, rarissime qui porte le nom de « Syndrome d’Emerson ». Adrien apprend qu’il n’a plus qu’une année à vivre. L’horloge du temps s’égrène. Elle signe le retour à l’essentiel et il va se lancer à la reconquête de sa belle Cassandra. Il est prêt, prêt à la reconquérir et à affronter les dragons. Cassandra n’a qu’à bien se tenir!

Cependant, elle ne sera pas la seule à être l’objet de ses attentions et intentions, il est bien décidé à consacrer plus de temps à ceux qui comptent vraiment. Pourtant, il leur cache l’essentiel, seul son ami Darshan est au courant. Il est tenu par le secret. Il ne dira rien, même s’il est en total désaccord avec certaines de ces décisions. De toute façon, une fois lancé, rien ne peut arrêter Adrien ! 

Qu’il est touchant ce garçon ! Amoureux, passionné et altruiste, il avait oublié de l’être. L’annonce de son diagnostic sonne comme un changement de direction. Il voit sa vie sous un autre angle. Le point de chute est tout proche et une année c’est finalement très court. Il était enfermé dans un monde de mathématiques et de chiffres. Il avait le temps. Et tout à coup, il se retrouve confronté à l’humain. La variable qui ne se maîtrise pas. Elle vous surprendra et surprendra Adrien. À son tour, de faire des surprises, de suivre Nicolas dans ses folles lubies, de consoler Zoé de sa énième histoire de cœur manqué, d’encourager Aurore, de botter les fesses aux lèche-bottes. Son entourage va faire le grand huit sans y être préparé. Seront-ils tous aveugles aux changements ? Y aura-t-il une main secourable pour notre ami altruiste ? 

Décidément, la plume de l’auteur est toujours aussi sensible et belle. Gilles Legardinier est tendre, doux, son humour imagé, tout en second degré a su me ravir. Les délires d’Adrien et Nicolas étaient parfois bien gratinés. Je finissais leur dialogue avec le sourire aux lèvres ou carrément en pouffant devant tant de gaminerie et de franche camaraderie. 

Quoi de meilleur qu’un exemple pour comprendre ces deux amis barjos 😀

« — Qu’est-ce que tu as en ce moment avec tes dents ? Tu n’étais pas déjà chez le dentiste la semaine dernière ?
— Si.
— Tu as des problèmes dentaires ?
— Non, je suis amoureux.
— Formidable. Donc tu comptes la séduire avec ton sourire qui se voit depuis l’espace?
— Non, je suis raide dingue de ma dentiste. Elle me fait un effet dément.
— Je le vois bien: elle te fait blanchir les dents. C’est bien connu, c’est même l’un des symptômes de l’amour fou. Par contre, quand ça se passe mal, ce sont les cheveux qui blanchissent…
Le commentaire laisse Nico rêveur.
— T’as raison, j’avais jamais remarqué. Ça doit être pour ça que les filles se marient en blanc… On parle d’ailleurs des dents du bonheur! Faites bien attention à ce que vous dites à Nico parce que ça peut vous entraîner très loin.
— Dis-m’en plutôt davantage sur ta dentiste…
— Elle vient de s’installer. En furetant sur les réseaux sociaux, j’ai trouvé qu’on avait précisément le même âge. C’est pas géant, ça?»

En bref,

J’ai beaucoup aimé ce roman qui pour moi ne sera pas passé loin du coup de cœur, chaque personnage a comme d’habitude le droit à ses petites attentions. Gilles Legardinier leur dresse le portrait cocasse pour certains, doux et tendre pour d’autres. Une ode à la vie et aux gens que l’on aime. 

Evaluation :

Note : 8 sur 10.

Résumé en vidéo de mon avis :

Synopsis :

Une chance sur un milliard de Gilles LEGARDINIER

D’autres avis :

Mémoires de la forêt : Les souvenirs de Ferdinand La Taupe de Mickaël BRUN-ARNAUD

Mémoires de la forêt : Les souvenirs de Ferdinand La Taupe de Mickaël BRUN-ARNAUD :

Mon avis :

Ce roman est une ambiance tendre et douce ainsi qu’une quête de mémoire et de souvenirs. Je n’ai pas eu le coup de cœur comme tout le monde, cela reste une excellente lecture. Je me suis régalée au niveau des illustrations et de l’histoire. Toutes deux rayonnent par leur empathie et leur chaleur. À la manière de Gilles Legardinier, Mickaël Brun-Arnaud pousse le lectorat à s’identifier à ses personnages voire à se mettre dans les habits de l’autre. 

C’est comme ça que nous sommes tantôt dans la peau de l’aidant tantôt dans la peau du patient. La maladie de l’oubli-tout fait des ravages comme Alzheimer, elle ballote sa victime sur le fil du temps sans aucune logique. Voilà des mots de l’auteur qui sont très parlant :

« — Cette maladie me fait chaque jour oublier ce qu’il est arrivé à ma chère Maude… Pourquoi est-elle partie ? Enfin, si elle est partie… Si seulement tu pouvais te souvenir, maudite caboche !
Maude ? Le libraire n’avait jamais entendu parler d’une Maude. Était-ce une autre taupe ?
— Mon cher Ferdinand, je suis vraiment désolé… dit le renard en caressant la tête de son ami, qui ronronnait maintenant de plaisir au contact des pattes griffues.
— Ne le soyez pas, Archibald, j’ai vécu une longue et belle vie et mangé tout un tas de bonnes choses.»

Ferdinand est touchant, car il a oublié sa Maud. Il ne sait plus où elle est. Quand il arrive paniqué à la librairie de son ami Archibald Renard, en demandant après Maud, Archibald est déconcerté. Il ne connaît aucune Maud. Ferdinand ne perd pas espoir pour autant. Il a laissé sa mémoire sur papier comme s’il avait pressenti qu’il en aurait besoin. Il a déposé son livre à la libraire de la famille Renard. Archibald cherche avec l’énergie du désespoir ce livre, mais rien. Puis, il se rappelle que quelqu’un l’a acheté plutôt dans la matinée. Malheureusement, cette fois-ci, il a oublié d’écrire le nom de l’acheteur. Ses ancêtres doivent se retourner dans la tombe.

Culpabilité et remords le rongent. Comment pourrait-il se racheter ? Il pourrait accompagner notre ami taupe dans son enquête sur le mystérieux acquéreur, nom d’une pomme ? Archibald est pourtant très casanier et obsessionnel. L’aventure est loin de lui donner des papillons dans le ventre, mais plutôt des vers. 

Ferdinand La Taupe peut compter sur un ami plein de compassion et de compréhension. Nous avons tendance à oublier, mais le patient est la première victime de la maladie. L’entourage peut être agacé, mais lui, il est perdu. C’est son cerveau qui ressemble à une bouillabaisse. Pourtant Michael témoigne de l’empathie aussi envers nos impatiences et nos errances en tant qu’aidant. Nous sommes humains et donc loin d’être parfaits. L’entourage aussi a le droit d’être fatigué, de ne pas sourire, d’avoir un mot plus haut que l’autre, car lui aussi est malmené par la maladie. Le travail de l’aidant est aussi valorisé et valorisant tout en étant compliqué. 

 

Sanoë est une artiste que je ne connaissais pas, pourtant, je vais suivre avec intérêt son compte Instagram. J’aime beaucoup son coup de pinceau et sa palette de couleur. Elle arrive à créer une ambiance chaleureuse et cocooning. C’est très agréable à regarder et à contempler. Les petites illustrations en tête de chapitre sont vraiment une bonne idée. Le titre du chapitre devient plus imagé et clair tout en gardant sa part de mystère. 

En bref,

Cette histoire appelle à la compassion et à la patience. Cette lecture est réconfortante comme un chocolat chaud au coin du feu. Mickaël Brun-Arnaud utilise son expérience personnelle pour sensibiliser son public à cette maladie Alzheimer qui emporte nos aînés ailleurs. Il maudit la maladie, montre l’insécurité qu’elle fait naître et en même temps compatit avec les aidants qui perdent patience. Cette maladie est un état de fait, nous devons vivre avec, comme pour l’oubli-tout, nous pouvons la maudire, et entourer d’amour nos aînés sans faire l’impasse sur nous même. Ce roman est un bel hommage à nos grands-parents et porteur d’un message bienveillant et beau.

Evaluation :

Note : 8 sur 10.

Résumé en vidéo de mon avis :

Synopsis :

Mémoires de la forêt : Les souvenirs de Ferdinand La Taupe de Mickaël BRUN-ARNAUD

D’autres avis :

Nous irons mieux demain de Tatiana DE ROSNAY

Ce livre est lu par l’auteur elle-même, qui imprime un certain rythme. Parfois, son débit de parole est maîtrisé et un peu angoissé. L’idée qu’un auteur lise son propre livre peut être une bonne idée, à condition qu’il ait une bonne diction pour porter le texte et y mettre de l’émotion. Qui de mieux que l’auteure pour faire des pauses à certains moments et accélérer à d’autres ?

Le renard et le petit Tanuki T5 de Mi TAGAWA

Senzo est hors de contrôle et que sa fureur pourrait détruire tout sur leur passage, mais Manpachi essaie de le ramener. Est-ce que la finalité de la vie de Senzo est de finir seul et repoussé de tous. Ses amis, Mikumo, Tachibana, Koyuki et Manpachi, pourraient inverser la tendance.

Petit pays de Gaël FAYE

J’ai été captivée par le livre de Gaël Faye, une tragédie à la mélodie douce, mais percutante et bouleversante. J’ai été touchée par la fluidité et la sonorité douce de sa plume que j’ai été emportée dans un bain de sang. Un génocide. Les mots de Gabriel les mots d’un enfant témoin du massacre vous ébranlent plus car il n’y a pas plus innocent d’un enfant.

Le renard et le petit Tanuki T4 de Mi TAGAWA

​​Ce tome est agréable, prenant et addictif. La scène d’ouverture met en évidence le partage des tâches domestiques. Les révélations et l’action laissent le lecteur pantoise. Koyuki se révèle peu à peu mais reste mystérieuse. Momoji et un humain obscur complotent. Des événements vont faire trembler le monde des métamorphoses avec un passé de Senzo qui pourrait ressurgir. Mikumo a disparu et Tachibana ne semble pas le chercher. Les dessins sont agréables à voir, avec des émotions vives permettant une immersion intense. En résumé, c’est un bon tome qui m’a incité à enchaîner avec le tome suivant.

Le renard et le petit Tanuki T3 de Mi TAGAWA

Ce manga est vraiment trop mimi. Il s’axe sur un public jeune, ça ne m’a pas gêné, j’ai pu l’aborder avec plus de légèreté. On sent que c’est pour les enfants, mais cela ne l’empêche pas d’être riche d’un point de vue : « mythologie japonaise ». Chaque animal a les caractéristiques du dieu qu’ils servent.

Le renard et le petit Tanuki T2 de Mi TAGAWA

Ce manga est vraiment trop mimi. Il s’axe sur un public jeune, ça ne m’a pas gêné, j’ai pu l’aborder avec plus de légèreté. On sent que c’est pour les enfants, mais cela ne l’empêche pas d’être riche d’un point de vue : « mythologie japonaise ». Chaque animal a les caractéristiques du dieu qu’ils servent.