Fragment de livre #127

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Fragment de livre #121

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes. 

Aujourd’hui, je vous présente un fragment de livre de Si je t’aime prends garde à toi de Céline Mancellon :

Par surprise, ou choc émotionnel intense, je reste coite et plantée devant ce qui ressemble au buste d’une statue grecque, tant de perfection paraît irréelle.

Oh ?

Lesdits pectoraux possèdent des bras, bras qui se font un devoir de m’entourer de manière très possessive et me voilà donc en train d’étouffer – non sans en retirer une certaine forme de plaisir coupable – contre le corps à demi nu de Jason.

Bonne lecture !

Fragment de livre #97

Cher.e.s voyageur.e.s

J’ai commencé à lire un livre et que je lis un peu chaque jour « On ne naît pas féministe, on le devient de Julia Pietri« . Il a l’air rempli de parole bien senti mais aussi de réflexions qui me paraissent judicieuse. Ce n’est pas l’homme l’ennemi seulement une société qui a besoin de laisser certaines idées concernant les deux sexes à l’abandon. Je vous laisse en juger par vous-même.

« Parce que nous vivons dans un monde design-é pour les hommes, parce qu’il y a encore des pays où l’avortement est illégal, parce que les enceintes connectées ont 70 % plus de chance de comprendre une commande vocale masculine, parce qu’il y a encore des pays où les femmes sont mariées de force pour de l’argent et d’autres pays où elles ne peuvent pas aller à l’école quand elles ont leurs règles.

Je ne veux plus vivre à l’époque préhistorique. Je suis féministe par révérence.

Pour que les femmes ne se soient pas battues pour rien, pour honorer nos arrière-arrière-grands-mères, nos grands-mères, nos mères… Celles qui ont permis qu’aujourd’hui je puisse voter, je puisse travailler, je puisse ouvrir un compte en banque sans avoir à demander à mon mari. Celles qui ont permis que je sois la première génération à pouvoir avorter facilement, celles qui ont permis que je ne me rende même pas compte que tous ces droits sont terriblement fragiles et que nous devons continuer à les défendre.

Je suis féministe, car tout le monde devrait être féministe.

Muter féministe, c’est s’abandonner à de nouveaux codes, c’est déconstruire ce que nous avons appris à être, c’est ouvrir, parfois défoncer, les verrous de nos contradictions. C’est renoncer à une partie de soi-même pour réussir à se réinventer. Quelle féministe devient-on ? Comment accepter nos paradoxes ? Réveiller nos peurs sans lever de nouvelles normes d’auto-oppression. Ce serait maigre de passer d’une prison à une autre. Comme l’explique si bien Roxane Gay, autrice du livre Bad Feminist : la féministe parfaite n’existe pas. »

L’auteure donnera la voix à plusieurs personnes dans ce roman. On aura le droit à différents points de vue.

Bonne lecture !

Fragment de livre #95

Cher.e.s Voyageur.e.s,

Je compte partager avec vous un extrait de Cavalier Vert Tome 5 : un éclat d’argent de Kristen Britain :

« Karigan songea que la morphie avait été vraiment très agréable, terrassant la douleur pour la première fois depuis ce qui lui semblait être une éternité. On ne comprend vraiment combien la douleur nous coûte que lorsque l’on en est libérée et que l’on sent la différence. Elle s’était laissé bercer, s’était abandonnée au monde flottant de la substance et avait dormi d’un sommeil de mort dénué de rêves ou de visions. »

Bonne lecture !

Beastars T1 de PARU ITAGAKI

Extrait en image :

Mon avis :

Un bon premier tome !

Il est prenant dès les premières pages, j’ai tout de suite été à fond dans l’histoire. En même temps quand l’histoire commence par un meurtre et à des allures de Zootopie, je suis déjà à moitié fane et captivée. Il en fallait peu pour me convaincre après ce début.

Un bel univers !

Nous sommes dans un institut où les élèves sont des carnivores et des herbivores. Pour maintenir la paix, les élèves sont tenus de respecter des règles strictes. Les carnivores et les herbivores sont séparés dans des dortoires différents. Les carnivores ne peuvent pas manger de viandes, ce serait déplacé.

Quand un herbivore, Tem, l’alpaga meurt, les soupçons se tournent tout de suite vers les carnivores. Une défiance générale règne au sein de l’école !

Des personnages intrigants !

Il y a tout une flopée de personnages : Legoshi, le loup, Louis, le cerf rouge, Jack le labrador et Haru le lapin blanc. J’avoue que j’adore Legoshi, ce Loup très imposant mais *presque* aussi doux qu’une peluche. Il était proche de Tem, un ami. C’est un grand timide contrairement à Louis, le Cerf Rouge qui joue le premier rôle au club théâtre. Louis est charismatique _ c’est super pour un premier rôle_ et mais aussi mystérieux et réservé. On découvre aussi Haru et ses mésaventures. Elle a l’air toute mimi.

Des dessins tout en finesses !

J’accroche énormément aux dessins. J’aime beaucoup le trait de la Mangaka. Il est fin et précis dans les traits des animaux. Ils me plaisent beaucoup, 😉 et les couvertures des différents tomes sont justes superbes.

Un petit conseil : enlevez la couverture, il y a une petite surprise fort sympathique.

En résumé : C’est un très bon premier tome, prometteur… J’ai hâte de voir ce que ça va donner.

Notation : 16/20

Tome suivant :

Premier paragraphe #70

Cher(e)s voyageur(e)s,

Aujourd’hui comme chaque Jeudi, je vous présente le premier paragraphe d’une lecture en cours ou passée. Aujourd’hui ce sera Le carnaval de Sang-Rire d’Anthony Lamacchia :

« Sandy Sôme montait vers chez elle, traînant des pieds sur la route goudronnée. Elle attaquait la dernière pente, sa maison n’était plus très loin. Elle n’avait qu’une idée en tête : se faire couler un bon bain chaud. On était en février, plus que deux semaines de calvaire avant les vacances.
Même pas 18h00 et il faisait déjà presque nuit : le soleil venait de bailler ses derniers rayons et commençait à se peloter dans ses nuages, alors que la lune et les étoiles commençaient doucement à ouvrir leurs yeux. Il n’y avait pas de vent, mais un froid à limer les narines à chaque inspiration. »

L’avez-vous lu ?

Bonne lecture !

Fragment de livre #94

Cher(e)s voyageur(e)s,

Je voulais partager avec vous un extrait d’une de mes lectures passées L’ensorceleur tome 2 : Le livre de la destinée d’Elodie Charrieras.

Lilas entrait dans la cour fleurie des Caminade, dirigée par Isaline qui la chevauchait, assise devant Geoffrey. Ce dernier sauta à terre, avant de faire descendre sa petite-amie. Geoffrey ne cessait de repenser à leur conversation avec Thaïs, qui tournait en boucle dans sa tête. Il avait assuré qu’il trouverait ce Livre mais il n’avait pas la moindre idée de la manière de procéder. Le Livre pouvait tout aussi bien être caché dans le sable du Sahara qu’être noyé dans les fonds de l’océan Pacifique, ou même avoir atterri au milieu de la Chine et avoir été rangé dans une de ses bibliothèques

Bonne lecture !