C’est un roman poignant qui aborde le sujet du harcèlement scolaire avec sensibilité. L’auteure, Marjolaine Solaro, nous plonge dans une histoire déchirante et captivante, mettant en lumière l’importance de l’action contre le harcèlement. Les personnages attachants et l’écriture émouvante font de ce livre une véritable révélation. Une lecture incontournable.
Je partage avec vous les premières lignes du livre de mes lectures passées. Je parle de Le chant de nos filles de Deb Spera :
Follow me Mon avis C’est une très bonne lecture. Ça a été un plaisir de retrouver l’auteure d’Elizabeth Haran. J’avais beaucoup aimé “Au pays des …
Découvrez ‘Jeux de mensonges’ de Julie Clark, un thriller captivant où rivalité et vengeance se mêlent. Parfait pour une lecture décontractée à la plage.
L’auteure m’avait été recommandée par Léa Volène, et après avoir adoré « Motus et cœurs cousus », j’ai suivi son conseil sans hésiter. Plongée dans cette lecture, je m’attendais à des émotions plus profondes, bien que j’aie dévoré les lignes et aimé l’ambiance. Il manquait peut-être un peu de piquant pour m’emporter totalement. C’est une très bonne lecture, douce et réconfortante.
Le titre a joué un rôle dans mon choix, une stratégie qui s’est avérée fructueuse malgré quelques déconvenues. L’histoire douce et feel-good m’a séduite, me donnant envie de rejoindre le club des Floralies. Marie incarne une mère célibataire attachante, cherchant à réussir sa reconversion tout en jonglant avec sa vie quotidienne. Son parcours de remise en question résonne avec le mien en tant que pharmacienne et blogueuse, confrontée au dilemme du bonheur vs. richesse.
Le mystère de l’admirateur secret ajoute du charme, les plans ingénus de Marie apportant une touche humoristique. Bien que n’étant pas un coup de cœur, cette lecture m’a redonné goût à la lecture, idéale pour une ambiance cocooning. Les Floralies offrent une belle amitié, et la transition de Marie en Violette ajoute une touche originale. En bref, cette comédie contemporaine de Charlotte Leman aborde l’actualité de l’équilibre entre travail et bonheur, une réflexion qui me parle en tant que lectrice et professionnelle. 🌸📖
Plongez dans l’histoire captivante de Maximilien, un homme qui se réveille dans un hôpital avec la mémoire d’un nouveau-né après avoir subi un AVC à 30 ans. Dans cette romance touchante écrite par Magali Discours, suivez l’épopée de Maximilien à la recherche de sa mémoire perdue, guidé par des odeurs, des sons et une silhouette floue. Alors que Maximilien tente de reconstruire son passé, il se lie d’une manière inattendue à Diane, une femme qu’il ne reconnaît pas mais qui semble importante pour lui. À travers des questionnements émotionnels, des rebondissements et une romance palpitante, l’auteure explore le pouvoir de l’amour et de la patience face au passage du temps et aux obstacles. Malgré un début légèrement en retrait émotionnel, l’histoire prend vie à travers les efforts désespérés de Maximilien pour recouvrer sa mémoire et retrouver Diane. Une lecture qui évoque un hommage à l’amour, tout en rappelant que la littérature peut rapprocher les cœurs. Si vous êtes à la recherche d’autres œuvres de Magali Discours, n’hésitez pas à vous plonger dans ses autres écrits pour explorer davantage son univers captivant.
Je profite des vacances des parents pour me reposer. Je leur souhaite de belles vacances. J’ai pu retourner à Giverny et profiter de cette visite avec des amis. On hésite entre le château de la Roche-Guyon et celui de Fontainebleau.
Je partage avec vous les premières lignes du livre d’une de mes lectures passées. Je parle de Sirem et l’oiseau maudit de Yasmine Djebel:
Je partage avec vous les premières lignes du livre d’une de mes lectures en cours. Je parle de La vie ne se danse jamais seule de Marie Joudinaud :
Le roman repose sur un principe simple, du moins pour les deux personnages que nous suivons. Hugo et Julie sont tous deux clients d’une agence qui leur promet un nouveau départ ailleurs, en laissant derrière eux tous leurs problèmes et déceptions.
Après avoir été assez proche de la panne sèche niveau lecture, je suis ravie de vous dire que je dévore mes livres et que parfois je n’ai pas envie de sortir tellement je veux simplement le finir.
Je suis d’accord avec l’avis que Di Morrissey a créé une histoire touchante avec une toile de fond australienne, qui est similaire à celle de Tamara McKinley. En outre, elle souligne la nécessité de se souvenir et d’enquêter sur les secrets de l’Australie, notamment le traitement des aborigènes et la honte liée à la mixité.
Après avoir été assez proche de la panne sèche niveau lecture, je suis ravie de vous dire que je dévore mes livres et que parfois je n’ai pas envie de sortir tellement je veux simplement le finir.
Après avoir été assez proche de la panne sèche niveau lecture, je suis ravie de vous dire que je dévore mes livres et que parfois je n’ai pas envie de sortir tellement je veux simplement le finir.
Cette semaine, j’ai été très occupé par le festival du livre ce qui fait que j’ai beaucoup acheté et clairement peu lu. D’autant qu’une de mes lectures a été très laborieuse, et pourtant on me l’avait fortement recommandé comme quoi.
J’ai été agréablement surprise par la plume imagée. Le début m’a décontenancée par son ambiance de cimetière et ses personnages qui semblaient s’y complaire.
— Ce n’était pas ce matin, mais dans la salle de réunion B, avec le directeur adjoint Justin Hanson, l’inspectrice- cheffe Stephanie Flynn et le directeur Edward van Zyl, le jour où je leur ai montré l’analyse des résultats du TDMC. Au bout d’un moment, ils ont oublié ma présence.
Un coup d’œil dans le rétroviseur indiqua à Poe que Flynn était réveillée. Elle avait les yeux rouges. On dort toujours moins bien en voiture que dans un lit.
Bradshaw se retourna.
— Vous n’appréciez pas Poe, pas vrai, madame Flynn?— Qu’est-ce que vous racontez, Tilly? s’écria l’intéressée, l’air inquiet. Bien sûr que si, je l’apprécie.
— Ah. Je n’avais pas compris ça, surtout quand le direc- teur Edward van Zyl a expliqué que le SCAS avait besoin de Poe et de sa «connaissance encyclopédique des tueurs en série» et que vous avez répondu: «Peut-être, mais il a surtout une connaissance encyclopédique de l’art d’être une
tête de con, monsieur le directeur.»
Poe rit si fort qu’il faillit s’étouffer avec la gorgée de café qu’il venait d’avaler.
— Tilly! s’écria Flynn, mortifiée.— Quoi?
Ce thriller est publié aux éditions archipel. Comme avec beaucoup de leurs livres, j’ai été happée dès les premières pages. L’enquête ainsi que l’intrigue associée à un personnage un peu ours comme Washington Poe n’y sont pas pour rien. Il faut dire que j’adore les personnages bourrus et un peu bruts de décoffrage qui envoient les règles au placard. Washington Poe est secondé par une lieutenante qui le laisse prendre ses aises. Stéphanie Flynn est une femme de poigne, mais elle est juste. Je regrette qu’elle soit finalement assez absente.
Washington Poe peut compter sur une analyste de génie et enthousiaste. Elle a un quotient intellectuel qui frôle la stratosphère. Avant que vous me disiez, c’est impossible, ce n’est qu’une image ! En tout cas, Tilly Bradshaw est peu sensible au second degré ou au langage imagé. Elle me fait penser à Temperance Brennan tout en restant très innocente du monde et de la méchanceté d’autrui. La dynamique qui s’installe auprès de Washington Poe oscille entre complicité et respect. J’ai bien aimé.
Cependant avec Tilly Bradshaw, l’auteur a voulu surfer sur la vague des séries qui mettent en avant des profiler, des gens super intelligents ou encore atteints de handicap comme l’Autisme Asperger ou d’HPI. Tilly a très peu de connaissances du terrain. Elle est innocente et naïve. Néanmoins, elle fait preuve de franchise. Elle peut être trop directe. Elle ne sait pas faire preuve de tact. Les scènes qui en résultent pourront vous faire sourire et alléger une enquête macabre sanglante et parfois même gore. J’ai vraiment eu un petit battement de cœur pour cette relation entre Tilly et Washington Poe.
J’aimais assez l’idée d’allier film et lieu spirituel, voire culturel. Ces sites sont présents dans une partie de l’Angleterre. Ils sont lourds en histoire. J’étais séduite par l’idée qu’il soit le théâtre de scènes de crime. M W Craven aurait pu s’en servir pour donner une dimension historique ou religieuse, mais l’idée n’est même pas effleurée. C’est dommage. Je ne suis pas sûre d’avoir bien compris la symbolique du lieu. J’aurais aimé un écho historique. J’ai été légèrement déçue de ce point de vue là. Je ne vous en dirai pas plus pour ne pas vous dévoiler trop.
Âme sensible, s’abstenir ! L’auteur va assez loin dans les descriptions macabres. La description parle de la chair brûlée, de la cendre et des eaux. Elle a même parfois une odeur, un peu trop de réalisme pour moi. L’auteur n’est pas aussi prolixe concernant les motifs et le passé des victimes. Je n’ai du coup pas été impliquée d’un point de vue émotionnel. Tous ces détails viennent alourdir l’histoire et donnent un côté voyeuriste à ce polar.
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