Fragment de livre n°129

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes. 

Voici quelques lignes de l’île des damnés d’Angélina Delcroix, un thriller prenant et addictif :

« Mais ça fait deux ans que nos oreilles, que nos esprits sont saturés par leurs noms ! Les médias font d’eux des héros, même si c’est au sens négatif du terme. On vit dans un monde fasciné par le crime. Il y a des conséquences à la médiatisation criminelle, tu le sais très bien.
— Oui, mais…
— On se focalise sur ceux qui ont été arrêtés. Voilà ce que provoque la saturation médiatique dans nos esprits. Super ! Les forces de l’ordre ont fait un boulot remarquable, ces ordures vont passer en jugement, les peines seront exemplaires pour rassurer les foules. Mais nous, on sait très bien que ce n’est qu’un leurre. Le réseau a seulement été bousculé. Une pichenette dans une flasque visqueuse. Quelques gouttes peuvent sauter, mais la flaque finit toujours par se reformer. Je me demande à quoi on sert, en fait. »

Bonne lecture !

Fragment de livre n°128

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes. 

Aujourd’hui, je vous présente un fragment de livre de Destination Happy End de Sarah Morgan :

Liza avait l’impression d’être un élastique tendu au maximum. Elle était bien obligée de tout surmonter, sinon que leur arriverait-il ? Même si sa famille n’en avait pas conscience, elle savait, elle, qu’ils ne pourraient pas s’en sortir sans elle. Les jumelles mourraient de malnutrition, ou succomberaient étouffées sous leur désordre, car elles étaient incapables de ranger le moindre objet leur appartenant, et de manger autre chose que de la pizza réchauffée. Le linge ne serait jamais lavé, et les placards seraient vides. Caitlin hurlerait : « Est-ce que quelqu’un a vu mon débardeur bleu ? » et personne ne répondrait, car personne ne saurait où était passé le débardeur.

Bonne lecture 😀

Fragment de livre #122

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes. 

Aujourd’hui, je vous présente un fragment de livre de Un petit grain de sable de Petra Hulsmann :

– Si tu n’aimes pas, ça ne te dérangera pas que je termine.

Il joignit le geste à la parole alors que je le regardais bouche bée.

– Tu… tu… tu n’es pas gêné ! Réussis-je enfin à articuler. Tu n’as pas le droit de me voler ma verrine !

Le sourire de Tom se figea.

– Pourquoi pas ? Vu comme tu hésites, c’est clair que tu n’aimes pas.

– C’est à moi de décider ce que j’aime ou pas, quand bien même, ça me prendrait un siècle !

– OK, j’ai compris. Je suis désolée, vraiment.

Je comptais en silence pour me calmer. Vingt et un, vingt-deux, vingt-trois…

– C’est oublié, répondis-je enfin. Tiens, tu veux le reste ?

Je poussai mon assiette vers lui. J’aurais volontiers goûté la raviole et les rillettes de hareng mais je n’en avais plus envie, surtout face à Tom qui me regardais fixement.

– Cool, merci.

A peine eut-il enfourné la raviole que son portable vibra à nouveau. Pendant qu’il répondait à son message, j’avalai une grande gorgée de vin et l’observai. Sacrés bras, quand même! Il devait en passer du temps à la salle de muscu. D’ailleurs, à y regarder de plus près, sa tête paraissait plutôt petite par rapport à son torse.

– Tu fais du sport ? Demanda Tom en lâchant enfin son téléphone.

– Oui, je vais à la piscine et je suis un cours d’abdos-fessiers.

– Tu n’es pas inscrite dans une salle ?

– Non.

– Dommage, c’est important, dit-il en regardant mon buste. Sans muscu et sans gainage, ça va pendre de partout et c’est franchement pas sexy. Bon, là, ça va encore, mais après trente ans, il va falloir faire attention.

Si le vin n’avait pas été aussi bon, je lui aurais jeté mon verre à la figure.

Bonne lecture !

Fragment de livre #121

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes. 

Aujourd’hui, je vous présente un fragment de livre de Si je t’aime prends garde à toi de Céline Mancellon :

Par surprise, ou choc émotionnel intense, je reste coite et plantée devant ce qui ressemble au buste d’une statue grecque, tant de perfection paraît irréelle.

Oh ?

Lesdits pectoraux possèdent des bras, bras qui se font un devoir de m’entourer de manière très possessive et me voilà donc en train d’étouffer – non sans en retirer une certaine forme de plaisir coupable – contre le corps à demi nu de Jason.

Bonne lecture !

Fragment de livre #118

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes. 

Aujourd’hui, je vous présente un fragment de livre de La mélodie du fantôme de A. G. HOWARD :

Je me demandais jusqu’où cet homme était prêt à aller pour gagner ma faveur.

— Mais j’aimerais monter à califourchon. L’amazone est si incommode…

Je m’étais attendue à ce qu’il réagisse à mon effronterie, mais il se contenta de hocher la tête.

— Et… Je me mordis la lèvre avec une coquetterie feinte, mais ne dissimulais en réalité aucune hésitation.

— Nous devrions faire la surprise à mon oncle.

Il secoua la tête, cette fois.

— Je préférerais en discuter avec lui. Je ne veux pas lui mentir, ou tomber en défaveur.

— Qu’en est-il de ma défaveur, monsieur le vicomte ? N’avez-vous pas peur de baisser dans mon estime ? Ses doigts pianotaient le banc entre nous.

— Ah. L’ascension serait bien plus difficile après une telle chute. Son sourire amusé encouragea mon assurance.

— Vous m’apprendrez, alors ? En secret ? Son regard s’éleva vers les nuages de la voûte.

— Je vous apprendrai, dit-il simplement. Vous semblez bien impatiente. Pourquoi ?

Bonne lecture !

Fragment de livre #117

Cher.e.s voyageur.e.s,

Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. Un extrait est pour moi la meilleure façon de se faire une idée sur un livre. Il est encore plus parlant qu’un résumé. De plus, j’ai eu quelques mauvaises surprises avec des quatrièmes de couverture. Elles étaient mensongères ou encore spoilantes.

Aujourd’hui, je vous présente un fragment de livre de Au soleil redouté de Michel Bussi :

Une perle noire pend dans son décolleté. Je la vois discuter avec Titine, la mamie belge assise à côté d’elle. Elle aussi porte une perle noire en collier. Je ne connais Titine que depuis deux jours, mais je l’adore. Je craque pour sa coquetterie de grand-mère, se faire appeler Titine plutôt que Martine, ses bizarreries vestimentaires, ses robes à dentelles ou ses shorts à bretelles, ses cheveux blancs en couettes piquées de fleurs de tiaré. Titine a dû être belle, très belle, elle est juste devenue un peu trop obsessionnelle avec son amoureux éternel… Jacques Brel !

Bonne lecture !!