

Mon avis :
Emoji est un jeune hacker très doué dans son domaine. Son monde de chiffres et de codes lui plaît, il le rassure. Ces mères sont inquiètes pour lui, car il ne sort pas de chez lui, il n’a pas d’amis. Sa vie sociale est proche de 0. C’est un adolescent, les amis c’est important.
En même temps, j’aurais trois mères ultra-protectrices et envahissantes, comme les siennes, moi aussi, je m’accrocherais à mon petit chez moi et j’éviterais la foule. Emoji a une phobie sociale, elle est surtout centrée sur les filles. Il est mal à l’aise dès qu’elles sont trois. Est-ce que le lien est réel ou juste un peu trop facile ? Pour Emoji, le lien est clair. Il a cependant une petite problématique. Il doit faire un stage pour son cursus. Or, qui dit un stage ! Dit des interactions sociales ! Emoji n’est pas prêt ! L’université lui laisse le choix de faire le stage ou de retourner vivre auprès de ses mamans. Le choix est vite fait, mais le pauvre, il va avoir une surprise de taille.
J’avais beaucoup accroché au scénario de BéKa dans « Les cœurs de ferraille T1 » et sans surprises, j’ai bien aimé même si j’avoue que si l’on retrouve la sensibilité. Cette bande dessinée est plus légère et humoristique avec pas mal de références à des marques ou même à la culture cinématographique. Je vous avoue que j’ai même rejoué certaines scènes à mon père et comme dans un mauvais gag j’ai mimé l’un des robots et je ne suis pas aussi habile que lui, je me suis rétamée. Rien de cassé ! Je vous rassure, mais c’était cocasse comme le personnage. Hey caramba ! Je reste sur ma réserve, concernant le méchant qui me semble une parodie du grand méchant. En fait, il a un petit côté Team Rocket et leur plan foireux. Je penche pour un fait exprès vu le ton de la BD.
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