Un drame change la vie d’Ulysse et Bérénice après une soirée arrosée ainsi que celle de Madeleine. La culpabilité et le deuil s’emparent d’eux, les poussant à se réinventer et affronter leur fragilité.
Ginger fait face à une récidive de cancer et lutte avec l’idée de subir une nouvelle chimio, préférant vivre avec dignité tout en réalisant son rêve d’enfance : monter sur les planches de Broadway. Lola, phobique, est déstabilisée par cette annonce déchirante et souhaite que sa meilleure amie se batte. Leur relation, profonde et parfois complexe, illustre les défis de la maladie et l’importance du soutien mutuel dans des moments cruciaux de la vie. Un récit émouvant et touchant.
Vale, après la perte de sa meilleure amie, s’attache à sa filleule Bianca, tout en surmontant une douleur profonde. Une histoire émotive et captivante.
Ce tome révèle le passé troublant de la mère de Reiji et sa relation autodestructrice. La situation sans issue pousse Reiji vers la tentation de la mort. Une atmosphère toxique imprègne le récit, dénonçant la pauvreté et l’absence d’aide sociale au Japon. Malgré le propos intéressant, l’ambiance dépressive rend la lecture trop lourde. Note : ★★★
La rencontre entre Luffy et Nami est particulièrement cocasse, et les lecteurs seront charmés par ce drôle de duo. Malgré les défauts d’impression, ce manga offre une lecture toujours aussi plaisante. Note : ★★★★
Agnès Martin-Lugand nous offre une fois de plus des personnages brisés et touchants. Gary, le plongeur, cherche enfin un chez-lui après des années d’errance, tandis qu’Erin, mère dévouée, a surmonté les cicatrices laissées par son mari disparu. Le récit à trois voix apporte une profondeur captivante. Une lecture vécue et magistrale.
Bonne lecture !
Follow me Mon avis J’avais bien aimé le tome 3, je l’avais trouvé plus léger. Tchako venait ajouter une petite note de douceur. Elle arrivait à surprendre Reiji et à le ramener sur le droit chemin. Malheureusement dans le tome 4, tout le monde plonge dans la noirceur. C’est assez décevant, parce que Tchako aussi…
Follow me Coucou les Loulou, D’abord, un petit point sur moi, car forcément je suis un peu plus nuancée du fait de mon métier. Mon avis sur la grossophobie peut en heurter certains je m’en excuse d’avance. Je suis pharmacienne, et les variations de poids chez mes patients m’inquiètent. Pourquoi ? Une perte ou prise de…
Découvrez une fresque familiale à la fois belle et cruelle, où la Chine révèle ses bas-fonds et quartiers chics. Suivez Violet, une jeune fille au destin singulier, élevée parmi les courtisanes, dans un récit poignant qui mêle drame, douceur et courage. Plongez dans le monde de la soierie, des couleurs et des relations complexes, sans tabou ni vulgarité, et laissez-vous emporter par l’écriture captivante d’Amy Tan. Un roman qui vous touchera, vous surprendra et vous donnera envie de protéger Violet de ses monstrueuses tentacules. Une recommandation forte pour les amateurs d’histoires puissantes et émouvantes.
Je vous avoue que le titre était franchement accrocheur. La technique de dessin est originale quoique très géométrique, donnant un côté maîtrisé malgré la confusion de la protagoniste. Cependant, ce décalage m’a perturbée en soulignant le voyeurisme et accentuant la grossièreté du récit. Les traits anguleux des personnages confortent cette rudesse. Dommage qu’il n’y ait pas un peu de rondeur pour adoucir le tout. Petite mise en garde : ne vous fiez pas trop à la couverture pour le graphisme du dessin !
Beth est en road trip et devient témoin d’une scène publique intrigante qui stimule son imagination et ses fantasmes. L’histoire, rythmée par une disparition, crée un parallèle perturbant. Pour moi, ce n’est en aucun cas comparable.
Cette BD est mitigée, son trait original manque de cohérence scénaristique. Le récit cru parle d’adolescence et de ses tourments, mais les hormones sont aussi synonymes de changement et d’acceptation. Un flou artistique.
En résumé : Lecture moyenne oscillant entre voyeurisme, recherche de sexualité et étrangeté, dérangeante dans sa présentation. Le dessin surprenant, mais les visages taillés à la serpe ne sont pas ma préférence. La technique de ligne perpendiculaire et géométrique est super intéressante. #CritiqueBD #AvisLecture #ArtGraphique
Je suis conquise par ce tome croustillant d’Ichigo Takano ! Les protagonistes, unis pour sauver Kakeru du suicide, offrent une histoire émouvante. La course relais du lycée est décisive, et voir Kakeru perdre l’équipe sous les yeux de ses amis me déchire le cœur, ses proches absents. J’admire la douceur avec laquelle le manga aborde la thématique sensible du suicide au Japon, brisant un tabou. Naho et ses amis luttent contre les idées noires en ajoutant de bons souvenirs, touchant. Les relations maladroites et les scènes de complicité des copains sont hilarantes. Une lecture poignante, triste parfois, mais remplie de moments tendres et optimistes. Croisons les doigts pour leur réussite ! #Manga #LectureÉmouvante #SauverKakeru
L’histoire suit François Vidocq, un bagnard qui essaie de se racheter une conduite pendant le règne de Napoléon. Mais les ennuis ne cessent de le poursuivre, notamment avec Annette, une jolie rousse au sourire espiègle. Le film est bien rythmé et porte une morale intéressante. Le jeu d’acteur de Vincent Cassel est excellent, tout comme celui de Freya Mavor, que je vais certainement suivre à l’avenir. Fabrice Luchini est également excellent dans son rôle.
Follow me Mon avis J’entame un nouveau Webtoon. Je l’ai choisi par hasard, parce qu’il était là, la médiathèque d’elle, et que le titre était accrocheur. Je me suis dit une vilaine qui va mourir, c’est chic pour commencer une histoire. Ce Webtoon est un isekai, mais cette fois l’univers est un jeu vidéo. Ceci…
Dans cette duologie se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale en Belgique, je m’attendais à une histoire centrée sur l’occupation allemande, mais Gihef et Renaud m’ont montré que c’était bien plus que ça.
J’ai été très touchée par l’histoire de Torakichi et Shiro. Bien que la décision de Torakichi de se marier pour que Shiro puisse aller à l’école semble altruiste, elle m’a brisé le cœur pour eux deux et pour sa future épouse.
Je suis tombée sous le charme de ce manga complexe et profond. L’auteur Yosikazu réussit à disséquer avec finesse la dynamique psychologique d’une victime de harcèlement moral.
J’ai été agréablement surprise par la plume imagée. Le début m’a décontenancée par son ambiance de cimetière et ses personnages qui semblaient s’y complaire.
Malgré cela, l’intrigue de ce tome se concentre sur les personnages de Kucabara et Bichura, et nous en apprenons davantage sur l’histoire de Kucabara et pourquoi il est devenu avocat des enfers.
Je n’ai pas été convaincue par le premier tome de cette saga, notamment à cause de la manière dont le suicide était abordé. Le traitement réservé à la suicidée était culpabilisant et minimisait sa souffrance. De plus, l’intrigue reste répétitive.
Ce livre est lu par l’auteur elle-même, qui imprime un certain rythme. Parfois, son débit de parole est maîtrisé et un peu angoissé. L’idée qu’un auteur lise son propre livre peut être une bonne idée, à condition qu’il ait une bonne diction pour porter le texte et y mettre de l’émotion. Qui de mieux que l’auteure pour faire des pauses à certains moments et accélérer à d’autres ?
