Cher(e) loulou,
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Mon avis ainsi qu’une histoire de censure
L’histoire de Sanji est toujours celle qui marche le mieux sur moi. Elle est émouvante et prenante. Effectivement, sa relation conflictuelle avec le chef du Baratie est de façade. Ces deux-là se chamaillent, mais ce qui les lie est fort et aussi tranchant que de l’adamantium.
J’avoue que quand j’ai vu cet épisode en anime en français. Je n’ai pas compris. La scène avait été censurée. Surtout pas de cannibalisme pour nos chers enfants. Je n’ai pas compris. Oui, c’est choquant pour des enfants, mais c’est expliqué et ce n’est pas montré. L’explication de la version censurée ne tient pas debout, il se serait coupé la jambe en sauvant Sanji de la noyade, pas d’île déserte ni de sac de provisions. C’est un acte héroïque, mais moins marquant. Il n’a pas duré dans le temps. La version écrite du manga quant à elle n’est pas censurée. Est-ce qu’à lire c’est moins choquant qu’à voir ou est-ce que censurer une œuvre écrite est un sacrilège encore plus important ?
L’anime en italien n’a pas cette censure. Pourquoi cette censure ? Surtout que l’acte de Zeff est tellement beau. J’ai mieux compris le dévouement de Sanji dans la version non censurée. Est-ce que cet épisode nécessitait pas plutôt une mention d’avertissement plus qu’une censure ? Le public italien ne s’en est pas plaint.
Bref, ce tome est resté très frais dans ma mémoire, car la sortie de l’épisode a fait polémique. Je me demande si la polémique existe vraiment et c’est pour moi la première fois que j’étais confrontée à la censure.
En résumé
Ce tome est aussi touchant et bourru. Il interroge sur son histoire et le besoin de censure des Français en tout cas pour l’anime.
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Bonne lecture !






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