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Mon avis :
Oh mon Dieu, c’est quoi cette fin ?! C’est cruel de laisser la lectrice (ou le lecteur) avec un tel cliffhanger. Ouh là là… j’ai vraiment du mal à m’en remettre. En refermant ce tome, mon cerveau est parti en vrille : il a déroulé mille scénarios possibles. Hélas, le plus probable ne m’enchante pas du tout. Je voyais une romance poindre le bout de son nez… et maintenant, je ne suis sûre de rien. Quelle frustration !
Dame Irène a réussi à ouvrir les yeux d’Arte sur ses sentiments pour Léo. On sent qu’Arte commence enfin à les assumer. Pourtant, elle ne les lui a toujours pas avoués. Elle cherche encore le courage de tout lui dire.
Mais aura-t-elle seulement le temps ? Lors de son dernier compte rendu à monseigneur Silvio, celui-ci lui fait une proposition : devenir la peintre attitrée de Dame Irène et la suivre en Espagne. Arte n’est pas dupe — Silvio veut qu’elle espionne. Droite dans ses bottes, elle refuse. Et pourtant… aucune protestation de sa part. Pas même un avertissement. Va-t-il vraiment la laisser repartir libre alors qu’elle en sait autant ?
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