Cher(e) voyageur(e),
C’est fou ce que j’ai vu tourner ce livre sur la toile. Il faut dire que c’est le temps des sorcières. Elles sont de nouveau à l’honneur. Elles sont maintenant un double symbole, celui évident de la magie et l’autre de la cause féministe.
Les écrits sortes à profusion, entre profiter de la vague et explorer le mythe, la lassitude pourrait pointer son nez, car auteur(e)s, je vous rappelle qu’une vague finit par éclater dans un grand fracas. Pourquoi ai-je pris la peine de vous faire cette métaphore ? Eh bien, parce qu’à force de voir des titres dans ce genre, j’ai peur de me lasser ou de moins en moins envie de découvrir ses livres.
C’est comme les pistes de ski _ c’est plus de saison_, si une piste est géniale mais noir de monde, j’aurais tendance à regarder ailleurs et découvrir d’autres pistes. Je l’ai fait au moment d’Hunger Games à celui de Twilight.
Je dis donc chapeau à Steven et Sia de Encres et Calamas pour m’avoir donné envie de tenter l’aventure d’autant que Sia met un bémol sur les répétitions donnant de la lourdeur au récit. Cependant, Alix E. Harrow apporte une petit touche d’analyse avec un parallèle sorcellerie et condition féminine captivant. Tous deux s’accordent à dire que les portraits sont saisissant et la thématique riche et touchante.

Avant, quand l’air était si imprégné de magie qu’il laissait un goût de cendres sur la langue, les sorcières étaient féroces et intrépides, la magie …
Le Temps des sorcières, Alix E. Harrow.

Et vous, êtes-vous tentée ? L’avez-vous lu, vous a-t-il plu ?
Bonne lecture et à demain pour d’autres tentations !
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