Film #22 : Le cauchemar du loup de Kwang Il-Han 

C’est un film d’animation Netflix qui présente Vesemir, un Witcher qui tue les monstres. L’accent mis sur le profit le rend peu sympathique. Malgré quelques points flous, le film est agréable à regarder. Néanmoins, il ne se démarque pas comme un chef-d’œuvre.

Film #18 : Mort sur le Nil de Kenneth BRANAGH

Si vous avez aimé « Le Crime de l’Orient-Express », cette suite devrait vous plaire aussi. J’ai bien accroché, malgré quelques réserves. Le casting est top, mais le doublage et Poirot moins charismatique m’ont interpellée. Ce n’est pas le film du siècle, mais une entrée en matière prometteuse.

Poirot brille davantage ici, plus sûr de lui, grâce à Kenneth Branagh. Le personnage est plus humain, crédible, et le doublage s’harmonise mieux. On découvre aussi son passé, sa complexité émotionnelle. L’intrigue, un classique, se dévoile avec des indices subtils. Branagh fait preuve d’une mise en scène captivante, et les décors m’ont presque fait voyager en Égypte.

La scène finale est à couper le souffle, le réalisme du crime fait réfléchir. Le casting féminin m’a bluffée, en particulier l’actrice de Linette et sa rivale, Jacqueline de Bellefort. Embarquez pour une croisière intense sur le Nil avec des rebondissements croustillants et une mise en scène magnifique ! 🎬✨ #MortSurLeNil #Cinéphile

Film #16 L’empereur de Paris de Jean-François Richet

L’histoire suit François Vidocq, un bagnard qui essaie de se racheter une conduite pendant le règne de Napoléon. Mais les ennuis ne cessent de le poursuivre, notamment avec Annette, une jolie rousse au sourire espiègle. Le film est bien rythmé et porte une morale intéressante. Le jeu d’acteur de Vincent Cassel est excellent, tout comme celui de Freya Mavor, que je vais certainement suivre à l’avenir. Fabrice Luchini est également excellent dans son rôle.

Film #15 : Glass Onion de Rian Johnson

« Glass Onion » est la suite de « À couteaux tirés ». C’est la deuxième fois que l’on voit le personnage de Benoît Blanc à l’écran. J’ai découvert le premier film « À couteaux tirés » avec ma cousine à Turin, et nous avons aimé le côté divertissant et drôle du film. Le casting était également bon, et le film a répondu à nos attentes.

Film #14 Avatar 2 La voie de l’eau de James CAMERON

J’ai apprécié le film « Avatar 2 » pour ses images de synthèse et ses paysages, qui m’ont laissé bouche bée. Je n’ai pas vu le temps passé. Le message de tolérance porté par le film m’a beaucoup plu. C’est une petite piqûre de rappel à notre société actuelle. Cependant, le scénario n’était pas très original et les scènes de combat étaient longues. Quelques coupures n’auraient pas été de refus. Les nouveaux personnages m’ont plu, avec un petit coup de coeur pour Kiri et Tuk. Elles ont fait vibrer une corde sensible chez moi. Je suis par contre assez déçue par la présence limitée de Neytiri dans le film et par le manque d’exploitation de la situation de Jack et Neytiri en tant que couple. En résumé, j’ai apprécié l’expérience cinématographique malgré quelques défauts et je serais au rendez-vous pour le prochain volet avec plaisir.

Film #13 La grande muraille signée par Zhāng Yì-Móu

Cher(e) voyageur(e)

Mon avis :

Ce film est un mix entre histoires, fantasy et les films « Prédator ». Je suis assez surprise d’apprendre en plus que c’est une coproduction sino-américaine. On suit deux envoyés de l’Église sur les terres arides de la Mongolie. Leur but est d’étendre le territoire de la chrétienté. Enfin, c’est leur couverture, en vrai, ils sont à la recherche d’une arme mythique : la poudre noire. Elle serait en mesure de changer l’issue d’une guerre. William Garin et son acolyte Pero Tovar sont en route vers la Chine. Seulement en cours de route, ils se font attaquer par une créature qui semble tout droit sortie des enfers, le pire n’est pas leur aspect, mais plutôt leur intelligence et leur nombre fort impressionnant. Leur exploit est impressionnant, mais maintenant un de leur camarade est blessé. Il rend son dernier souffle. Sans plus de considération pour leur ami tombé au combat, les deux mercenaires cherchent une échappatoire, et un endroit où se mettre à l’abri de ces créatures démoniaques. 

Leur chemin est cependant coupé par une muraille imposante. Celle-ci les empêche de rejoindre la capitale. C’est une armée qui les accueille. Elle est composée de milliers d’hommes et même un groupe de guerrières. Ils sont perplexes. Ce peuple semble attendre un assaut. La barrière de la langue est vite balayée, car la commandante est bilingue et sert d’interprète. Comment seront-ils accueillis ? Trouveront-ils la poudre noire ? Se trouve-t-elle dans la muraille ? Et encore, à condition qu’ils survivent ! 

Le scénario de scène de guerre ainsi que l’alliance forcée pour combattre un ennemi commun ne sont plus une nouveauté. Il a été exploité encore et encore. La méfiance et le partage par la force des choses sont de mise… Pourtant, les événements induisent un changement des priorités. Ce n’est pas la nouveauté qui démarque ce blockbuster, mais c’est plutôt le mélange des genres ainsi que le rythme. Effectivement, le rythme est soutenu, il ne fait pas un pli. Les scènes de guerre sont impressionnantes, même si parfois très peu probables, le spectateur a quand même le souffle court et l’attente est agaçante. Ce sont des signes qui ne trompent pas. Matt Damon a vraiment le chic pour en imposer et pour une fois son acolyte Pedro Pascal l’égale même s’il est plus discret, ses interventions restent marquantes.

La seule chose qui pêche vraiment dans le scénario, c’est les émotions notamment avec la romance qui ressemble plus à une mécanique bien roulée qu’à un coup de foudre. De plus, quand les émotions sont le sujet des dialogues, les réparties se font plus bancales comme un film de série B. C’est dommage, car il y a du potentiel. 

Je rejoins un membre de sens critique, quant aux costumes, ils sont tous réussis. Par contre, les couleurs criardes des femmes guerrières montrent un cruel manque de goût et m’ont fait penser à Power Rangers. Je n’arrivais pas à les prendre au sérieux avec cette image dans la tête. 

En bref, un mélange des genres bien exploités d’autant que l’histoire implique les mystères concernant la construction de la muraille de Chine. J’ai beaucoup apprécié ce principe. Le rythme de ce film est bien huilé et fonctionne à merveille, pas le temps de s’ennuyer. La seule faiblesse de ce film est l’empathie, c’est trop mécanique. 

Note : 7 sur 10.

2 réponses à “Film #13 La grande muraille signée par Zhāng Yì-Móu”

  1. Avatar de Les paravers de Millina

    Oui très divertissant à regarder pour se vider la tête.. C’est une bonne idée. J’avais vu que tu as bien aimé sur senscritique 😀

  2. Avatar de Vampilou fait son Cinéma

    Je me suis juste éclatée avec ce film, un pur divertissement, extrêmement efficace et assez sublime visuellement !

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