Coucou tout le monde,
Voici quelques extraits de Charley Davidson tome 1, Première tombe sur la droite de Darynda Jones :

« — Euh, ouais, dit-il en restant sur le seuil, c’est juste que j’ai été assassiné hier et qu’on m’a dit de venir vous voir.
— On vous a dit ça, hein ?
Peut-être que si je continuais à regarder la cafetière de haut, elle développerait un complexe d’infériorité et me ferait mon café plus vite, juste pour prouver qu’elle en était capable.
— Ce gamin m’a dit que vous résolviez des crimes. »
« — Je voulais l’appartement et je me suis dit que je pourrais le recouvrir avec une bibliothèque ou un meuble dans ce genre-là. Mais ça m’embêtait d’avoir un mec mort qui flotte derrière mon exemplaire d’Amour tendre, amour sauvage. Je ne pouvais pas le laisser là comme ça. Je ne sais même pas s’il aime la romance.
Je regardai le nouvel être éthéré qui me faisait l’honneur de sa présence.
— C’est quoi votre nom, au fait ?
— Oh, quelle impolitesse de ma part, dit-il en se redressant et en s’avançant pour me serrer la main. Je m’appelle Patrick. Patrick Sussman. Troisième du nom. (Il s’immobilisa brusquement et regarda sa main, avant de lever les yeux d’un air penaud.) J’imagine qu’on ne peut pas…
Je lui serrai fermement la main.
— En fait, si, on peut, Patrick, Patrick Sussman, troisième du nom. »
« — Tu lui as rendu les coups ?
— Nan. J’ai perdu connaissance.
— C’est pas vrai !
— Si.
Cookie écarta sa fille et examina ma mâchoire à son tour.
— Tu as montré ça à quelqu’un ?
— Oui, à un beau blond assis dans un coin du bar qui me regardait avec de grands yeux ronds.
Amber pouffa. Cookie pinça les lèvres.
— Je voulais parler d’un docteur.
— Non, mais un ambulancier chauve et pourtant étrangement sexy m’a dit que tout irait bien.
— Oh, c’est un expert ?
— En flirt, oui.
Amber pouffa de nouveau. C’était un son que j’aimais beaucoup, comme un carillon à vent se balançant dans une douce brise. »
J’espère que ses extraits vous donneront envie d’aller feuilleter le livre et peut-être plus. A Mardi prochain !