La courbe parfaite

Les idoles du Stade T1 La courbe parfaite de Jaci BURTON

Les idoles du stades T1 La courbe parfaite de Jaci Burton
Les idoles du Stade T1 La courbe parfaite de Jaci BURTON 5

Fragment de livre en guise de mise en bouche :

Mick Riley. « Le » Mick Riley. Toute personne vivant dans le secteur savait qui il était. Toute personne qui suivait les matchs de football américain à la télévision le connaissait aussi, d’où qu’elle vienne. Ses contrats de publicité le faisaient apparaître sur tous les écrans américains et probablement au-delà des océans aussi, puisqu’il représentait l’image d’une grande variété de produits, du déodorant aux outils électriques. Il était une icône, le symbole de la réussite américaine. Et bon sang, qu’est-ce qu’il était beau !

— On s’est rencontrés tout à l’heure, dit-il.

— Oui, en effet. Merci encore de m’avoir indiqué le bureau.

— Avec plaisir. Vous êtes une invitée de la soirée ?

Elle le gratifia d’un sourire.

— Non, je ne suis pas une invitée.

Il haussa les sourcils.

— Vous vous êtes incrustée à la fête, hein ?

Elle rit.

— Non, je suis l’organisatrice de l’événement.

Mon avis :

J’avoue qu’au début de l’histoire, j’aimais bien les personnages. Mick va à l’encontre du stéréotype du sportif sans cervelle. Jusque là, sa carrière primait, il allait jusqu’à avoir des aventures sans lendemain avec des Top-modèles en vue, pour sa réputation. À plus de 30 ans, il est vieux pour continuer à jouer et il s’est lassé de ses relations superficielles avec la gent féminine. Il participe à un événement lorsqu’il rencontre Tara. Elle est loin de son type de femme. Elle est plus en courbe, mais aussi moins impressionnable. Il ne veut pas la laisser filer. 

Le principe de cette romance était sympa. Je savais que cette lecture est érotique. Cependant, il y a trop de scène de sexe. Non, mais, une à chaque chapitre, est-ce vraiment nécessaire ? Elles se ressemblent toutes. Elles prônent soi-disant la libération sexuelle de la femme, mais c’est comment dire « vulgaire » ? La femme a le droit d’aimer le sexe de là à se sauter dessus tout le temps ? C’est au détriment des personnages, l’auteure reste très superficielle sur la psychologie de ces personnages. Là aussi, dommage. 

En bref : C’est un abandon. J’arrête, stop, c’est assez.

Note : 1 sur 5.

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