Arte T20 de Kei Ohkubo
Quand une saga retrouve son souffle… les sentiments, eux, n’ont jamais cessé de brûler.
Quand une saga retrouve son souffle… les sentiments, eux, n’ont jamais cessé de brûler.
Un manga qui guérit doucement : là où la musique panse les blessures que les mots n’osent pas nommer.
Dame Gyokuyo en danger, Mao Mao prend un risque, Jinshi la soutient. Intrigue captivante, cliffhanger surprenant, romance timide, émotions et complots se renforcent.
Kei Okhubo nous livre un tome sur l’enfance de Léo, mais j’ai l’impression de faire du surplace. C’est agaçant, mais nécessaire pour comprendre ce personnage secret et attachant.
Cette saga est un régal pour les yeux, avec des personnages intrigants et des révélations qui jalonnent l’histoire.
Isabella Bird poursuit son périple et découvre les Aïnous, peuple discriminé mais fascinant. Sa curiosité et sa bienveillance enrichissent son voyage. Le dessin est sublime, et l’auteur s’investit pleinement. Un tome instructif, engagé et toujours aussi immersif.
Céline découvre Paris et ses métiers sous l’œil d’un libraire intrigué. Observatrice mais effacée, elle peine à susciter l’empathie. Un récit intéressant historiquement, mais manquant d’émotion. J’attends la suite pour juger son évolution.
L’Exorciste du Louvre est un manga captivant mêlant art et surnaturel, avec des personnages attachants et un concept original, promettant une suite intrigante.
Ce tome présente des batailles impressionnantes, mais la déception se fait sentir en raison d’un manque de réponses. Bien que captivant par son art, l’histoire semble floue. Les personnages sont bien développés, mais trop de mystère devient frustrant pour le lecteur.
Dans ce manga, Charlie, un personnage hybride, se retrouve en mauvaise posture face aux ALA, un groupe terroriste. Sa situation souligne l’aberration des lois qui ne le protègent pas, tandis que l’intrigue mêle amitié, violence et questionnements éthiques.
Dans ce dernier tome de la saga, Hatchepsout montre sa maturité en cherchant le coupable du meurtre de sa fille, tout en naviguant entre relations difficiles avec son fils et ambitions pour l’Égypte. Une conclusion satisfaisante.
Tetsuo, un père préoccupé par sa fille, découvre que son petit ami violent est un yakuza. Après un affrontement mortel, il doit cacher le corps tout en échappant à la vengeance criminelle.
Ce tome est humoristique et dynamique, mais l’intrigue principale n’avance pas beaucoup, décevant légèrement les attentes des lecteurs.
Le tome 6 de Daruma Matsuura ravit avec son intrigue captivante et ses dessins magiques, promettant des révélations sur Tsuki.
Ce tome montre une inversion des rôles entre Megumi et Kei, mais manque de nouveauté par rapport à d’autres séries du même genre. Bien que les dessins restent fidèles, la répétition dans la trame me laisse lassé. Malgré cela, je reste attaché aux personnages et j’espère une évolution future.
J’ai beaucoup apprécié ce livre pour mieux connaître la troupe de Moriarty. Cependant, l’histoire est trop cynique et violente, loin de ma conception de la justice. Le pessimisme omniprésent m’empêche de continuer cette série.
L’intrigue gagne en rythme et clarté, avec une Mao Mao de plus en plus impliquée. J’attends des révélations entre Mao Mao et Jinshi avec impatience.
Charles Maries et Isabella Bird se disputent un contrat japonais. L’intrigue met en lumière des enjeux de pouvoir et de botanique. Forte et déterminée, Isabella poursuit son rêve.
Cher(e) loulou, si tu cherches une lecture passionnante et pleine d’intrigue, ce tome est fait pour toi! Mao se retrouve plongée dans une énigme captivante au palais impérial, avec une tension palpitante. Tous les mystères ne sont pas résolus, mais on en apprend beaucoup sur Jinshi. C’est le meilleur tome, avec une touche de romance sous tension!
Follow me Mon avis Le début de ce tome est calme entre passé et présent. L’action du tome précédent est plus lointaine. Pourtant au milieu de l’intrigue, elle reprend sa place avec la tension qui l’accompagne. Ce changement de rythme a attiré mon attention et mon intérêt. Daruma Matsuura m’emporte toujours plus loin dans son…