Cher(e) loulou,
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Mon avis
Kei Okhubo nous a encore réservé un tome presque entier sur l’enfance de Léo. Je ronge mon frein. C’est agaçant. Cela fait maintenant plusieurs tomes que j’ai l’impression de faire du sur place et de ne pas avancer. C’est frustrant. Alors oui, je suis toujours accro à cette saga, je veux connaître le mot de la fin. Pour autant, je le vis de plus en plus comme des longueurs déplaisantes.
Cette fois-ci le flashback concerne Léo. J’ai connu Léo indifférent, celui qui a donné sa chance à Arte quand personne ne l’a fait et Léo en maître compréhensif. Mais lui, comment a-t-il fait pour avoir son propre atelier ? Les tomes précédents n’en ont pas beaucoup parlé.
Léo est central dans les pensées d’Arte, il est son moteur. Cependant, son personnage n’est pas sur beaucoup de planches. Il est loin d’être aussi central dans le manga. C’est difficile à expliquer, mais il prend de la place sans être tant présent que cela.
Léo est un personnage secret que j’ai aimé découvrir. Tout commence par son début dans les ateliers de Maître Ezio, un peintre particulier. Indifférent à sa famille, néanmoins le jeune Léo va réussir à attirer son attention. Difficile de ne pas faire de parallèle avec Arte à ses débuts. Attention, nous sommes néanmoins loin de la redondance. Ce n’est pas non plus la version féminine d’Arte, ils n’ont clairement pas traversé le même style de difficulté. Ils ont simplement tendance à l’affronter de la même manière.
En résumé
Cette absence d’évolution, ce frein dans l’intrigue sont toutes les raisons qui expliquent que j’ai aimé ce tome sans plus. C’est nécessaire, mais il aurait clairement pu être condensé en moitié moins de pages.
Note
Citation
Synopsis

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Temps de lecture
Bonne lecture !





