Cher(e) loulou,
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Mon avis
Cette saga a une le tour caractéristique, mais parce qu’une rupture ce n’est pas si facile à choisir. Puis au Japon, il y a aussi la conséquence sociale. Un divorce comme une femme qui travaille ne sont pas forcément bien vus. Michi est juste sûre d’elle et elle a de la chance, ses parents comprennent. Cependant, Yoshi n’arrive pas encore à signer les papiers du divorce. Il se pose plein de questions sur lui-même. Michi a eu des mots et ils l’ont frappé comme une baffe. C’est difficile d’accepter la critique sans se rebeller pourtant Yoshi est prêt.
Impossible d’effacer leur conversation de leur tête. Les mots résonnent. Est-il autant centré sur lui-même ? Ne sait-il pas écouter les autres ? Ces questionnements l’isolent. Il déprime, mais peut-être a-t-il besoin de cela pour avancer ?
Jusque-là, je ne m’étais pas attaché à ce personnage, mais cette introspection me l’a rendu plus plaisant. Il a gagné en profondeur.
Ces flash-back sont aussi l’occasion de voir que Michi s’est oubliée dans leur relation. À trop penser à Yoshi, elle n’a pas réussi à s’imposer. Haru Haruno fait une analyse de la société à travers ses couples qui ne savent plus se parler.
Makoto est quant à lui en pause. Il a enfin parlé à Kaede de son absence de désir, mais ils n’arrivent pas à avancer tous les deux. C’est comme s’ils voulaient recoller les morceaux d’un vase en mille morceaux. Aucun ne se retrouve, ne se comprend et ne se complète. Haru Haruno a plus de mal avec le destin de ce couple. J’aimerais bien connaître la suite. Leur décision finale !
En résumé
Ce tome est une analyse du lien social plus que du couple. Le manque de temps, mais aussi de l’écoute de l’autre est un problème en soi. Important et crucial. Ces couples se sont éloignés physiquement, mais pas que.
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Bonne lecture !

Lecture pour le Shiny Summer Challenge 2025, dans le menu Alexandrie, Alexandra dans la catégorie Si seulement.






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