Cher(e) loulou,
Table des matières
Mon avis
Enfin, ça avance ! Les deux précédents tomes traînaient tellement en longueur qu’ils avaient fini par ternir cette saga que j’affectionne beaucoup. Après l’enfance de Léo, il commence à travailler sous l’aile d’Ezio, un maître avare en sentiments, prétentieux et sensible. On a enfin Léo qui prend en main son atelier et qui retrouve Arte… L’occasion rêvée de découvrir si les sentiments d’Arte sont réciproques. J’ai tellement hâte.
Pour l’instant, elle doit parvenir à rejoindre Florence, toujours sous stricte surveillance à cause du siège. Elle ne s’attend pas à ce que Léo partage ses émotions, elle souhaite seulement le revoir, lui parler. Elle était partie de Florence dans la précipitation, et leur adieu avait résonné comme une fuite. Son voyage sera-t-il récompensé ?
J’avais tellement envie de me lancer dans ce tome, et aussi peur que cela signe la fin de mon aventure. Si le prochain tome était resté aussi long que les précédents, avec si peu d’action, je n’aurais peut-être pas continué. Celui-ci rattrape vraiment le reste. La saga approche de la fin, à voir si ce sera un happy end. J’avoue que j’y crois. Il y a eu davantage qu’une simple relation maître-élève : de l’admiration, de la tendresse. Cela pourrait clairement fonctionner.
Les dessins sont toujours aussi beaux, et le passage du temps a laissé ses marques sur Arte plus que sur Léo. La faim, en revanche, a marqué son visage. L’équipe de dessin a progressé : jusque-là, c’était surtout des hommes bien portants ou des mendiants assez crasseux. Les structures osseuses sont plus visibles, la maladie se voit et se ressent.
La lecture est redevenue plus intense.
En résumé
C’est beau, rythmé, et la saga reprend du poil de la bête. La fin approche. J’espère qu’il ne reste qu’un tome.
Note
Citation
Synopsis
D’autres avis sur la toile
D’autres livres de l’auteure
Résumé en image
Tome précédent
Bonne lecture !
