Conan le fils du futur Après la vague d’Alexander KEY

Aujourd’hui, je vais vous parler de « Conan le fils du futur », un livre qui m’a été envoyé par Babelio. Petite, j’ai regardé l’adaptation animée de ce roman signé Hayao Miyazaki un nombre incalculable de fois. Les aventures de Lana et Conan ont vraiment marqué mon enfance. J’adorais Conan, son sourire face à l’adversité, sa joie de vivre et sa force surhumaine.

Sofia T1 la plage de la chaise rouge de Davide TOSELLO

Salut les amis ! Je viens de recevoir cette super BD en service presse de chez les éditions Dupuis et je voulais vous en parler. C’est la deuxième BD de science-fiction que je lis et je suis de plus en plus fan de ce genre. Entre le style humoristique d’A-lan et la passion de Sofia pour le sport, cette bande dessinée de science-fiction est vraiment géniale. Sofia et sa sœur vivent près de la plage et Téa est à la recherche d’une vague mythique qui pourrait résoudre les problèmes de mémoire sur Internet. Sofia, quant à elle, critique sa sœur pour sa dépendance au monde virtuel. Elle travaille également sur le web, mais elle trouve toujours du temps pour surfer et profiter de l’océan. Les personnages sont attachants et l’histoire est captivante avec une pointe de suspense. Je ne vais pas vous en dire plus, mais sachez qu’il y a quelques surprises qui vous attendent. Le style de dessin de Davide Toledano est vraiment agréable, ça me rappelle les sœurs Grémillet. En résumé, c’est une BD sympa et différente qui vous fera voyager tout en abordant des thèmes intéressants. Je vous la recommande chaudement, c’est un vrai régal pour les yeux ! 🌟 #BD #ScienceFiction #LectureDuJour

Film #9 Prey (2022) signé Dan Trachtenberg

Cher(e) voyageur(e),

Avec mon père, nous aimons nous faire peur. On se choisit un film en espérant le grand frisson. Nous visionnons ces films en général quand maman n’est pas là accompagné de tortillas et de pizza industrielles _ oui, c’est un sacrilège, mais no judge !_. Nous avions choisi Prey.

Mon avis

Je n’ai pas vu les films « Predator ». Beaucoup disent qu’il est en lien et que cela peut jouer sur l’avis final. Maintenant que j’ai dit ça, je peux peut-être vous faire part de mon avis. 

L’histoire en elle-même est plutôt banale. Naru est une jeune femme qui veut faire ses preuves. Elle veut montrer qu’elle est aussi forte que son frère, qu’elle aussi, elle peut chasser. Pourquoi une femme ne saurait-elle pas tirer à un arc ou même pister sa proie ? Son clan lui fait confiance pour pister sa proie, un peu moins pour chasser. Heureusement, c’est bientôt l’heure de sa première chasse toute seule. Elle aura l’occasion de leur montrer à tous qu’elle est douée et qu’elle avait bien raison de s’entêter, qu’elle en valait la peine.

Lors d’un de ces entraînements, les événements dérapent de chasseur, elle devient la proie d’un ours. Il est imposant, mais surtout très en colère. Il charge. Son chien et elle courent à s’en cracher les poumons. Elle trouve refuge dans un barrage. L’ours et ses grosses griffes acérées ont de quoi éventrer ce pauvre barrage de castor. Ça y est ! C’en est fini d’elle. Non, attendez, mais que vois-je ? L’ours est soulevé de terre par une force invisible, poignardé et éventré. Naru est bouche bée. Elle a du mal à assimiler la scène qui s’est déroulée sous ses yeux. Elle doit prévenir son clan, ils doivent savoir qu’un ennemi féroce et invisible est tapi dans l’ombre prêt à les attaquer. 

Cependant, son clan la croit faible. Leurs jeunes chasseurs auront tôt fait de tuer cet ennemi, s’il existe évidemment. 

J’ai été séduite par les effets spéciaux. Les producteurs m’en ont mis plein les mirettes. Les paysages sont assez banals dans le sens que ce ne sont que des plaines et des montagnes, mais j’ai adoré. C’est dépaysant et frais.

Naru a su me toucher. Elle est forte, déterminée et intelligente. 

C’est les dialogues qui pêchent. Les dialogues sont assez peu présents et en plus pour ne rien arranger le doublage sonne faux. Il manque de conviction.

Le dernier point, c’est le nombre de scènes gores. Il n’y a pas besoin de nous jeter toute cette hémoglobine au visage pour nous effrayer ou nous tenir en haleine. C’était un peu trop pour moi.  

Pour un avis plus enthousiaste que le mien :

Sortie mondiale : 05 août 2022 sur Hulu & Disney+ Réalisation : Dan Trachtenberg Scénario : Patrick Aison Musique : Sarah Schachner Distribution : …

: Prey (2022)

Note : 2 sur 5.

4 réponses à “Film #9 Prey (2022) signé Dan Trachtenberg”

  1. Avatar de Les paravers de Millina

    Alors j’avoue peu dialogues moi qui ait la parlotte, j’ai parfois du mal à m’en accommoder, après le paysage et le balayage de la caméra sur la faune et la flore m’a émerveillé. Mon enthousiasme à simplement était douché par le sang versé. Haha je suis curieuse de la VO maintenant !

  2. Avatar de Les paravers de Millina

    Oui je pense que s’il y a une chose qui m’a gêné, c’est le bain de sang final avec la surenchère. C’était un peu trop. Il y a tellement moyen de faire un bon film sans être trop gore !

  3. Avatar de Les Mots de Mahault

    Tout comme Ma lecturothèque, j’ai apprécié ce film – il me faut avouer être assez amatrice de l’univers Predator. En revanche, c’est vrai qu’ils ont un peu forcé sur l’hémoglobine ^^ !

  4. Avatar de Ma Lecturothèque

    Contrairement à toi, j’ai beaucoup aimé ! Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de dialogues dans les premiers films (en tout cas, pas dans mes souvenirs) donc, si ça t’a gêné ici, ça risque d’être le cas si un jour tu décides de regarder le premier « Predator ». J’ai trouvé que ce « manque » faisait la part belles aux ambiances et à la musique. En ce qui concerne le doublage, je ne peux pas en juger car j’ai vu le film en VO, en tout cas j’ai beaucoup aimé le casting (sauf les « Français » dont je comprenais à peine ce qu’ils disaient!!).

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Les nuées T1 Eremos de Nathalie BERNARD

Et c’est encore une belle découverte pour moi, un mot sur la couverture, elle est sublime. Elle est scintillante et désertique. Elle vend du dépaysement et croyez-moi, on est servi. Le soleil est chaud et ardent. Il tape sur un paysage légèrement martien et pourtant… La(e) lectrice (eur) est transportée auprès de Lisbeth, une jeune Hydro. Sa vie est routinière. Elle se lève, se rend au travail, cherche de l’eau dans le désert Dallol, puis elle retourne à la maison pour se reposer. Elle est bien. Si elle se conforme aux règles, la milice la laisse tranquille. Elle est née dans un tel environnement. Il ne lui vient pas à l’esprit de le remettre en question.