Cher(e) loulou,
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Mon avis
Ce tome révèle bien des choses sur le passé de la mère de Reiji, le lien obscène avec cette ville, cette chape de plomb, cette voie sans issue, mais surtout cette tendance autodestructrice adoptée par sa mère. Les révélations ne s’arrêtent pas là.
Pour Reiji, la situation semble sans issue, la mort de plus en plus tentante, tout de façon, qu’est-ce qui l’attend dans cette ville ? Il ne sera jamais qu’une aide pour sa grand-mère incontinente et le larbin de son grand frère qui ne sort plus de sa chambre depuis des années. Il se sent lié et sans échappatoire. La mort est l’unique solution. À tout cela se mélange une relation toxique avec son institutrice. Celle-ci lui fait du chantage pour pouvoir continuer à l’aimer, mais aussi à le posséder physiquement.
Bref, tout ce mélange devient trop toxique pour que je continue. Je comprends le propos sur ses petits villages pauvres et l’absence d’aide sociale au Japon. L’auteure dénonce clairement ce fonctionnement, mais c’est too much. L’ambiance est trop dépressive. Trop noire. Chacun essaie de prendre le pas sur l’autre, peu sont ceux qui tendent la main. Les parents sont possessifs et pas aimants envers leurs enfants. À la limite, ils les entraînent même dans leur perversion.
En résumé
Le rayon de lumière, je l’ai attendu longtemps, et je jette l’éponge. Le propos s’entend, mais la vie n’est pas que méchanceté et égoïsme.
Note
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Bonne lecture !






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