Cher(e) loulou,

Mon avis

Je me suis lancé dans ce roman après avoir lu « Fantastique histoire d’amour » que j’avais adoré. J’ai d’ailleurs voté pour lui dans le cadre du Prix Relay. Or dans la présentation de l’auteure, l’éditeur faisait référence à ce roman. Je l’ai vu à la bibliothèque et j’ai sauté sur l’occasion. Bonne ou mauvaise idée ? 

Plutôt mauvaise, déjà je n’aurais jamais dû lire le résumé. Effectivement, celui-ci en dévoile beaucoup trop. J’étais à 40 % de ma lecture et je n’avais même pas atteint les 10 % du résumé. J’avais lu 110 pages, et j’avais l’impression que l’histoire se répétait, mais surtout que madame A était assez ingrate. Effectivement, madame A est la fille de deux ouvriers sans grande éducation. Elle arrive à avoir le baccalauréat, elle sera donc supérieure à ses parents (ce n’est pas moi qui le dis). Ses enfants la dépasseront dans les études et leurs niveaux de vie et ainsi de suite. Elle est mariée à François, un commercial dans les assurances. Elle a une belle maison en ville, deux beaux enfants et un niveau de vie confortable. Pourtant, elle n’est pas satisfaite… C’est plan-plan, elle est une madame de Bovary des temps modernes. Pourtant, François est gentil et amoureux, mais il est aussi banal et pas surprenant pour un sou. C’est un monsieur tout le monde. 

Je n’ai jamais lu « Madame de Bovary », mais madame A n’est pas attachante, elle se plaint beaucoup tout en disant qu’elle a tout. L’histoire est plate, lente et Madame A est distante. Bref, je ne me suis pas attachée ou même de s’identifier à elle. Et surtout, je m’ennuyais ferme. J’ai donc abandonné ma lecture. À quoi bon poursuivre ?

T’arrive-t-il à toi aussi d’abandonner une lecture ? Et quelles sont les raisons généralement ?

Note

Note : 1 sur 5.

Citation

« Vous partiez toujours en voiture. Depuis le début du XXe siècle les voitures sont des véhicules dits aussi automobiles, servant au transport des êtres humains. Ces machines pèsent environ une tonne, elles sont constituées de quatre roues basses en épais pneumatiques sur lesquelles repose une carrosserie métallique encastrée dans un châssis. Leurs proportions sont d’environ un mètre cinquante de haut sur deux mètres de large sur trois à cinq mètres de long. La carrosserie abrite un habitacle dans lequel nous pénétrons par des portières latérales, on y trouve deux sièges à l’avant et une banquette à l’arrière. Le siège le plus important est celui de la personne qui actionne la manœuvre, qu’on appelle conducteur. Une automobile peut contenir de trois à cinq personnes supplémentaires qu’on appellera alors passagers, les êtres humains à l’extérieur des voitures seront nommés piétons. »

Extrait de
La condition pavillonnaire (Notabilia) (French Edition)
Sophie Divry
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Synopsis

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Résumé en image

Temps de lecture

2–3 minutes

Bonne lecture !

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