Aurélie Crop raconte son expérience de mère et son fils albinos, brisant les tabous sur l’albinisme et la dépression post-partum.
Ce livre rassemble des lettres d’Emily Dickinson, mais sans contexte, ce qui rend la compréhension difficile. À offrir à ceux déjà familiers avec la poétesse, sinon prenez garde.
Le livre, centré sur la vie d’un médecin généraliste, explore les défis émotionnels rencontrés par Jean, qui tente de fournir un soutien à ses patients tout en cherchant son empathie et ses larmes.
Ce texte évoque la transformation d’une femme en mère, soulignant la perte d’identité et de liberté, ainsi que les inégalités d’un couple. L’œuvre d’Annie Ernaux, bien que simple, suscite une profonde réflexion.
Anthony Bertrand partage son combat pour fonder une famille en tant que couple homosexuel dans les années 2010. Ayant été lui-même adopté, il souhaite transmettre ses origines à son enfant à venir, malgré les défis et les doutes. L’auteur expose son expérience de co-parentalité avec un couple lesbien, soulignant la complexité de créer une famille non traditionnelle. Malgré les risques, il insiste sur l’importance de l’équilibre émotionnel de l’enfant. Ce récit authentique et touchant éclaire les désirs et les craintes liés à la parentalité non conventionnelle. Une bande dessinée inclassable et captivante qui mérite davantage de reconnaissance.
Follow me Mon avis Une nouvelle lectrice et membre du café livres de la Médiathèque des Halles m’a donné envie de découvrir ce roman. Elle était étonnée que ce livre ait fait autant de bruit à sa sortie. Certains critiquent qu’Annie Ernaux ait eu le prix Nobel à cause de ce roman. Elle y décrit…
Quand j’ai choisi ce livre, je me suis dit que ce serait l’occasion de renouer avec cet auteur que ma mère adore et en version numérique. Je pouvais vraiment savoir si le style de l’auteur était vraiment en cause ou si c’était juste une mise en page. Je m’attendais à un récit autobiographique, mais un récit tout de même et pas à une dissertation sur différents thèmes.
Ce côté très mastoc descriptif, plein de citations, m’a comme qui dirait coupé l’herbe sous le pied. Je n’arrivais pas avancer. Je n’avais pas envie de le lire. Quand venait l’heure d’ouvrir le livre, je reculais le plus possible. Au bout de 3 semaines, j’avais lu 161 pages, soit 40 % du livre. Mais la sensation de dissertation et de discours en tiroir ne m’a jamais quitté. En plus, l’auteur met un paragraphe pour dire une chose qu’il aurait pu dire en une phrase.
Follow me Fragment de livre en guise de mise en bouche : Une fois rafraîchies et l’estomac plein, nous allâmes trouver le mollah et lui expliquâmes que nous cherchions mon père. Tous les sans-abri, comme nous, qui fuyaient les combats et avaient perdu de vue un proche, procédaient ainsi. Il fallait se rendre dans une…
Follow me Un fragment de livre pour vous donner un petit aperçu de la plume de l’auteure : Chaque Noël, les dindes volent contre les murs, et Soeur Lumière ponctue, comme une rengaine : » Je ne savais pas que cuites, les dindes volaient. » Elle a beaucoup d’humour, Grande Soeur Lumière, ou alors de cynisme,…
Follow me En guise d’avant-goût : Pour expliquer mon histoire, il y a toujours eu deux versions : le hasard ou le destin, une vision plus large, un dessein. Des prières là-bas qui ont obtenu leurs réponses ici. Depuis l’enfance, j’ai choisi la seconde. Mon existence _ sort chamboulé ou fabuleux, c’est selon _ doit…
