Suite et fin de mon voyage à Lisbonne partie 5

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Hey, êtes-vous prêt pour une nouvelle immersion au Portugal ?

Après la Rue Bica, la pause déjeuner, je suis allée prendre un bon cappuccino et direction le musée de la monnaie. Le hall d’entrée vaut bien le détour, le musée est gratuit. Eh oui, parfois j’aime bien quand c’est gratuit. Je me suis laissée guider dans les différentes salles de la naissance du troc à la monnaie sonnante et trébuchante. J’ai simplement trouvé ça un peu dommage qu’il n’y a pas plus d’explication. Il y avait pas mal de machines obscures pour illustrer le propos. Les tableaux interactifs étaient gratuits, mais le reste était payant. Simplement, je n’étais pas au courant, il aurait fallu descendre les 4 étages pour retourner à l’accueil. J’ai été prise d’une flemme immense et je ne l’ai pas fait. Certaines machines vous permettaient par exemple de tester vos billets de voir si c’était des vrais via différentes techniques. Tout cela manquait d’explication ou de personnes pour vous renseigner.

Ensuite direction, le Castelo de Sao Jorge, il est tard, je le sais le soleil se couche, mais justement peut-être aurais-je le temps de profiter d’un beau coucher de soleil sur Lisbonne. Le Castelo offre une vue sur Lisbonne et je l’ai eu mon fameux coucher de soleil. Le tableau était magnifique.

Pour les détails techniques, l’entrée est à 15 euros ou 7 euros 50, car j’avais 25 ans l’année dernière. La visite est essentiellement en extérieur. Alors le coucher de soleil vaut le coup d’oeil mais les ruines du château manque d’éclairage pour que la visite soit vraiment satisfaisante. Sinon comme le Château des Maures à Sintra, ces sentiers au milieu des murailles semble, m’a percuté et emmène loin dans mon imagination. Je regrette simplement que l’on ne puisse pas faire un tour à l’intérieur des murs ou dessus. La vue est déjà prometteuse, mais de là haut, je suis sûre qu’elle est splendide.

Le lendemain, c’était mon dernier jour à Lisbonne. J’ai dit à mon cousin : « il ne nous reste qu’une chose à faire un café historique, tu en connais un ? « . Lorenzo aurait pu me regarder avec des yeux de merlan frit, c’était du pareil au même. J’ai épluché mes guides et google maps. Et j’ai trouvé une super adresse.

Ensuite, test d’une autre spécialité des bouchées de Morue que l’on a fait frire « Pastel de Bacalhau » : Casa Portuguesa do Pastel de Bacalhau R. Augusta 106, 1100-053 Lisboa, Portugal. C’était très bon. Je me suis régalée. J’avoue, nous avons fait les touristes, c’est une des institutions avec des dorures, des bouchées de morue classique et aux fromages. Comme ils étaient incapable de m’expliquer quel fromage ils avaient mis dedans. J’ai préféré éviter, je suis intolérante aux fromages de chèvres. Je pense pas que c’en était, mais dans le doute, je préfère éviter.

Puis l’on a mangé à As Bifanas do Afonso (R. da Madalena 146, 1100-340 Lisboa, Portugal), un lieu populaire et très prisé pour manger sur le pouce. Après avoir savouré un verre de bière et dévoré un délicieux sandwich, je remercie mon cousin de m’avoir fait découvrir ce repas à la fois délicieux et copieux, un véritable trésor de la street food. L’ambiance y est conviviale et chaleureuse, parfaite pour une pause gourmande. Ce sandwich, qui ressemble à un kebab mais avec une viande marinée et savoureuse, a réellement comblé mes papilles. Je vous conseille de patienter un peu dans la file d’attente, le service est rapide et le résultat en vaut la peine.

Ensuite, comme deux bons italiens qui se respectent nous avons fini dans un café sur la place du commerce, un de ceux historiques. Contre tout attente le lieux n’est ni sur fait ni exagéré au niveau des prix. Le décor est historique et le service est charmant, les deux valent le détour. J’ai pris un thé me méfiant du café et mon cousin l’habituel café. Il m’a dit l’un des meilleurs café de Lisbonne. Nos boissons étaient accompagnés d’un Pastéis de Nata. Délicieux, une belle clôture pour ce court, mais intéressant séjour. J’en ai pris plein la vue.