Cher(e) loulou,
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Mon avis
J’ai reçu le livre via le programme Eurolibro (que je ne recommande pas, car ce n’est pas une bonne affaire et s’en sortir est compliqué). Aucun des livres du programme ne peut être revendu en librairie, seule une revente sur Vinted est possible. J’espérais faire de belles découvertes… mais ce ne fut pas le cas.
Ferzan Ozpetek a une écriture simple et fluide, mais l’intrigue semble toute entière une mise en scène étrange et fugace. Dommage, car les idées sont là, mais mises ensemble, elles manquent de logique : l’âge des personnages, leurs émotions.
Et ce point est crucial. Sans un minimum d’émotions, je ne parviens pas à m’impliquer dans une histoire. La trame peut comporter des défauts, mais Alice est un personnage qui semble n’avoir jamais connu ni liberté ni amour. Elle ne semble éprouver aucun sentiment pour les autres, et sa mère encore moins. La seule exception est Irene, une femme qu’elle a vue à cinq ans et qu’elle a ensuite contactée une seule fois par téléphone. Je ne sais pas vous, mais soit c’est un amour platonique au premier regard, soit c’est inexplicable : difficile à accepter.
Et ce n’est qu’une des nombreuses choses un peu inexplicables.
Ozpetek décrit les femmes comme des êtres très dépendants du charme physique. Il parle d’amour, mais uniquement sous l’angle sexuel : adieu le romantisme. Il réussit dans l’amitié, mais parler d’amour n’est clairement pas son point fort.
Il libère la protagoniste grâce à un héritage. Pour une Sicilienne habituée à la vie de campagne, la découverte de Rome devient le summum du charme et du divertissement. Certains éléments de la vie de Tante Irene m’ont plu, mais le déroulement me semblait superflu et surgit comme un éclair dans un ciel serein.
En résumé
Ce ne sera pas un livre inoubliable : sympathique, oui, mais avec de nombreux points faibles.
Note
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Bonne lecture !
