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Premières lignes n°175

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Cher.e.s voyageur.e.s,

J’ai modifié le rendez-vous premier paragraphe. Et je me suis rendue compte que ma nouvelle version est très similaire à celle du rendez-vous premières lignes créées par Ma lecturothèque d’où le changement de nom.

LE PRINCIPE : CHAQUE SEMAINE, JE PRENDS UN LIVRE ET JE VOUS EN CITE LES PREMIÈRES LIGNES DU RÉCIT. 

Je partage avec vous les premières lignes du livre d’une de mes lectures en cours. Je parle de Technoféminisme, comment le numérique aggrave les inégalités de Mathilde Saliou

« Beutis Renuka Amarasingha est souriante, sur les photos. Elle porte un grand châle à carreaux rouges, un tartan qu’on imagine facilement servir à coudre des chemises chaudes de bûcheron canadien. De longs cheveux noirs dégringolent sur son épaule droite. Le dimanche 22 avril 2018, elle est rentrée de quelques semaines de vacances dans sa ville natale, au Sri Lanka. Elle y était allée avec son fils Diyon, 7 ans, garçon sportif et joyeux qu’elle élève seule depuis sa naissance. À peine arrivés, ils se sont rendus dans leur centre de méditation bouddhiste de Toronto. Cela fait une quinzaine d’années, déjà, que la mère de Diyon vit au Canada.
 
Le lundi 23 avril, à l’heure du déjeuner, Beutis Renuka Amarasingha rentre du lycée où elle travaille. D’après Google Maps, il faut sept minutes pour rejoindre la station de métro North York Centre. C’est juste au bout de l’Empress Avenue, de l’autre côté de Yonge Street, l’une des artères les plus fréquentées de la ville. »


Bonne lecture !

Les blogueurs et blogueuses qui y participent aussi :

Bonne fin de week-end !

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