Tag PKJ : Les livres dont on parle peu ♥

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Vous aimez certains livres, mais personne ne les connaît? Vous aimeriez davantage mettre en lumière certaines pépites méconnues de votre bibliothèque ? Je ne fais pas souvent des tag PKJ, mais puisqu’il s’intéresse aux livres qu’on aime et dont on ne parle pas suffisamment! Dans la mesure du possible, je répondrais aux questions en proposant un livre différent à chaque fois.

1) Citer un livre que vous adorez mais que peu de gens connaissent.

Le complexe d’Eden Bellwether de Benjamin Wood

C’est un livre qui m’a bluffé d’autant plus qu’il s’agit d’un premier livre de l’auteur. 

Le complexe d’Eden Bellwether de Benjamin Wood

2) Citer un auteur qui mérite d’être découvert par un plus grand nombre de lecteurs.

Un auteur, un seul ! Le choix est difficile. Cependant si vous me suivez depuis un petit peu de temps. Vous vous doutez de ma réponse : Charles Exbrayat. Il écrit des romans cocasses et rempli de suspense. Des personnages sont super attachant. Je les adore.

3) Citer un livre peu connu d’un auteur connu.

Nous étions les hommes de Gilles Legardinier

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C’est un thriller bouleversant, pleine de question sur l’humanité. Qu’est-ce qu’être “humain” ?

Je vous mets un énorme extrait mais je le trouve très représentatif du livre :

« — Je suis bien d’accord. Le père Endelbaum m’expliquait que vous aviez présenté un mémoire. De quoi s’agissait-il ?
— En fait, il y a trois ans, j’ai assisté à la réunion d’un groupe de travail qui a littéralement changé ma façon d’envisager la structure mentale de notre espèce. J’ai décidé de suivre leurs travaux. Nous organisons souvent, avec des représentants d’autres courants religieux, des rencontres autour de sujets au croisement du sociologique, du philosophique et du spirituel.
— Quel était le thème de celle-là ?
— « Pourquoi l’homme se coupe-t-il de son âme ? ».
— Excellent pour un devoir de philo…
— Autour de la table, il y avait des chrétiens, des musulmans, des juifs, des bouddhistes et des athées. Durant les trois premières réunions, les discussions se sont orientées vers des analyses du concept d’âme et de la place qu’il tient dans notre nature. Tous s’accordaient sur le fait qu’après une première phase de développement matériel, chaque civilisation en son temps avait entamé une ère plus spirituelle. Mais l’évolution est toujours la même. À la faveur d’un monde de plus en plus global, les différentes civilisations se sont progressivement rejointes, nivelant les différences. Parallèlement, la science a réussi ce qu’aucune religion n’est parvenue à faire : les progrès ont unifié le monde bien plus efficacement que les croyances. On partage les technologies, pas la foi. Du coup, au milieu du XXe siècle, la science a pris le pas sur les religions et toutes ont commencé à décliner.
— Vous le déplorez ?
— Je déplore l’obscurantisme, docteur, aussi bien dans les religions que dans les sciences. Ce groupe de travail avait mis des mois à synthétiser quelques vérités de haute volée, mais les conclusions étaient, à mon goût, trop éloignées du concret de la vie. J’ai malgré tout continué à suivre leurs travaux et j’ai bien fait parce que cela s’est avéré passionnant. Sous l’impulsion des athées, ils sont revenus à une approche à hauteur d’homme. Loin des grands principes analytiques, ils ont replacé l’individu au centre de leurs raisonnements. Ils sont partis du constat que, en pourcentage, le nombre de patients atteints de démences et de dysfonctionnements psychiques divers n’a pas cessé d’augmenter durant le dernier siècle. Ce phénomène est contemporain à l’avènement de la science. Partout sur la Terre, ces maladies prolifèrent. On pointe le vieillissement, la pollution, le stress. La science n’est pas coupable en tant que telle, mais les intervenants se sont alors demandé si le recul de la religion n’y était pas pour quelque chose.
— Vous prêchez pour votre paroisse…
— Non, docteur. Cela pose simplement une interrogation essentielle : qu’est-ce que la religion apporte aux gens, que notre époque leur a retiré ?
L’esprit de Kinross était en éveil.
— Poursuivez.
— Il fallait se poser cette question au-delà de tous les particularismes religieux. Qu’est-ce que les cultes, d’où qu’ils proviennent, passés ou présents, juifs, bouddhistes, musulmans ou chrétiens ont en commun, réellement, quotidiennement ? 
— Dieu ?
— Bien sûr, docteur, mais peu d’entre nous le rencontrent tous les jours… Je vous parle d’une réalité tangible, qui influence notre façon d’être, qui façonne nos jours. Il leur a fallu du temps, mais ils ont trouvé trois éléments fondamentaux. Trois points qui, par-delà le temps et l’espace, sont communs à tous les cultes. Le premier concerne le lieu : tous se déroulent dans des endroits calmes, silencieux, où l’on se trouve isolé du quotidien. Le second concerne l’obligation de s’interroger sur ses propres actes sous le regard d’une autorité supérieure – appelez ça l’examen de conscience ou la méditation, mais cette approche est à chaque fois présente. Et le troisième est la prière, la demande, le souhait. Quelle que soit la religion, quelle que soit la période ou la langue, vous rencontrez toujours ces trois éléments. Et notre époque nous les a effectivement retirés. Plus le temps de penser, plus de capacité à s’isoler, plus d’autorité supérieure cohérente, il y a toujours une voix pour vous dire que vous avez bien agi pendant que l’autre vous condamne. Toujours un téléphone qui sonne, toujours une chanson à la mode, quelque chose qui vous distrait et vous empêche de penser. On a prouvé que la faculté de concentration des enfants régressait depuis deux générations. On sait aussi que ce que les personnes âgées écoutent le plus, c’est la télé. Jamais de temps pour s’interroger, pour imaginer, plus de vrais échanges ; du mouvement, du bruit mais plus aucun repère. Il y a de quoi vous rendre fou.
Le propos de Schenkel trouva un drôle d’écho au plus profond de Scott. Intuitivement, naturellement, à travers les centaines de cas étudiés, cet aspect-là venait compléter le puzzle de son analyse sans contredire aucune des autres convictions qu’il s’était forgées.
Il se pencha vers Thomas :
— Est-il possible de lire votre mémoire ?
— Il est à votre disposition.
— J’aimerais que vous jetiez un œil à ce que le professeur Cooper et moi avons découvert. Votre approche peut être très utile. 
Kinross hésita puis ajouta :
— En fait, j’aimerais beaucoup que nous puissions travailler ensemble.
Schenkel ouvrit les bras avec un grand sourire :
— Avec plaisir, docteur. D’autant que l’histoire de mon mémoire ne s’arrête pas là.
— C’est-à-dire ?
— Tout ce travail a déclenché une tempête dans mon esprit. Et à force d’y penser, j’ai découvert un quatrième élément commun à tous les cultes. C’est tout bête, mais personne n’y avait pensé. Lorsque j’en ai fait part au groupe de travail, les membres m’ont proposé de me joindre à eux, et c’est ensuite que mes supérieurs m’ont nommé au service de recherche où j’ai rencontré Devdan.
— Quel est cet élément ? »

4) Citer un dystopie qui mérite plus d’attention.

Starters de Lissa Price

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Court avis : 

J’ai tellement adoré ce livre, que je l’ai relu. Il nous transporte dans une incroyable dystopie. Elle se démarque des autres par son originalité: “louer des corps de jeunes à des plus vieux”. Un concept qui m’a intrigué dès la lecture du résumé. Je me suis dit pourquoi pas même si j’avais un peu peur d’être déçue. Il faut dire que c’est un sujet pas facile. Mais je ne suis absolument pas déçue, la preuve c’est que je l’ai même relu. On s’attache très facilement à Callie, à son amour pour son petit frère, à son altruisme… De plus, on a tout de suite envie d’en savoir plus sur elle, son univers, les Starters, Les Enders… si vous avez envie de connaître cet univers et bien comptez pas sur moi pour en savoir plus….
Je vous invite donc à lire ce livre, et j’espère vous avoir donnée envie de le lire.

De bonnes idées ! Un premier tome haletant! 

5) Citer une romance dont on ne parle pas assez à votre goût.

Je vais plutôt vous parler d’une série : La légende des quatre soldats de Elizabeth Hoyt

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6) Citer un PKJ peu connu.

J’utilise un Joker.

7) Citer une série terminée qui est passée un peu inaperçue.

Gone de Michael Grant 

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Une série qui m’a rendu addict ! ♥

8) Citer un livre de fantasy qui devrait avoir plus de lecteurs.

Druss, La légende de David Gemmell

Couverture Druss la légende
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Des personnages simples et beau, un univers magique et démoniaque !

Chronique ICI

9) Citer un livre peu connu d’un auteur français.

Les avenirs de Hafid Aggoune

Couverture Les avenirs
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Un livre avec une histoire poétique, une plume juste superbe, une langue française au summum…

10) Citer un livre récent méconnu.

Le baiser et la morsure de Yasmina Khadra et de Catherine Lalanne

Le baiser et la morsure dYasmina Khadra
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C’est l’histoire d’un écrivain, de ces romans, de ces péripéties et de sa vision de la vie. Une belle leçon de vie ! ♥

Chronique ICI

11) Citer un livre oublié paru il y a longtemps.

Les blondes et Papa de Charles Exbrayat 

Les blondes et papa de Charles Exbrayat
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Des scènes truculentes, des personnages hauts en couleurs… Une enquête rocambolesque…

N’hésitez pas à partager vos réponses avec nous sur les réseaux sociaux !

2 réponses à “Tag PKJ : Les livres dont on parle peu ♥”

  1. Le sujet l’annonçait, mais c’est vrai que je ne connais aucun des livres mentionnés. Après, il est vrai que je ne lis quasiment aucune romance, ni aucune dystopie, ça ne doit pas aider.

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